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UNIR soutient la repénalisation du délit de presse, l’ANC critique et les médias condamnent
Publié le mercredi 4 novembre 2015  |  Togo breaking news


© aLome.com par Parfait
Les députés planchent sur le Nouveau Code pénal togolais
Lomé, le 30 octobre 2015. Assemblée nationale du Togo. Dernière ligne droite des amendements par les députés du texte portant Nouveau Code pénal en République togolaise. Ces séances sont marquées par le retour de J.-P. FABRE au Parlement.


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Accusé d’avoir voté une disposition liberticide et antidémocratique qui repénalise le délit de presse, dépénalisé depuis 2004, le groupe parlementaire UNIR se défend par la voix de son président, Christophe Tchao qui estime que les journalistes font une confusion.


« Que vous soyez un arrangeur de foule dans une mosquée, que vous soyez un pasteur, que vous soyez un bloggeur, pour toutes ces personnes, il a été dit dans cet article qu’à partir du moment où vous vous livrez à ce genre d’informations (fausses nouvelles, ndlr), vous allez mettre le pays à feu et à sang. Si vous tenez des propos qui incendient le pays dans vos synagogues, dans vos mosquées de prêcheurs, en tant que bloggeur, il faut pouvoir discipliner tout cela. », a déclaré Christophe Tchao.

Le députe explique que ce sont tous les citoyens qui sont concernés par cette disposition et qu’elle n’interroge en rien les dispositions du code de la presse. « C’est une confusion générale que les gens. Il ne faut pas confondre qui concerne nous tous, pour le bien-être et le vivre en commun par rapport aux dispositions du Code de la presse », se défend le Président du Groupe parlementaire UNIR.

Me Adama Doe Bruce prend le contre-pied des arguments de M. Tchao et pense que l’article n’est pas clair du moment où on punit de peine de prison la diffusion de fausses nouvelles sans tenir compte des dispositions du Code de la presse.

« Alors que tout le monde a salué la dépénalisation du délit de la presse, on constate que, sans le dire vraiment, par ce biais, on peut rattraper les journalistes puisque ce texte ne distingue pas que la personne poursuivie est journaliste ou pas », indique l’avocat membre du Groupe parlementaire ANC.
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