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L’Afrique pourrait avoir 4,2% de taux de croissance en 2016 avec un secteur énergétique adéquat
Publié le mercredi 13 janvier 2016  |  Agence Ecofin


© aLome.com par Parfait
Séance de questions orales autour du drame de WACEM, à Tabligbo
Lomé, le 22 octobre 2015. Parlement. Les ministres Bawara et Bidamon, épaulés par leur collègue Pius Agbetomey ont répondu à la question suivante de Jean Kissi : «Dans quelles conditions le drame de WACEM s’est-il produit, les mesures d’aide aux victimes, des éclaircissements sur le type de contrats liant l’Etat togolais et les industries minières… ».


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L’Afrique subsaharienne devrait donner la priorité au développement de son secteur énergétique si elle veut lever les obstacles internes à son développement. C’est ce qui ressort du rapport Perspectives économiques mondiales publié par la Banque mondiale..

« Le règlement des problèmes du secteur énergétique devrait être une priorité.», peut-on-lire dans le rapport qui poursuit : « La mise en place de conditions adéquates pour un secteur industriel compétitif passe principalement par une fourniture adéquate en énergie.»

L’institution mondiale prévoit pour la région une croissance de 4,2% pour l’année en cours, une amélioration par rapport aux 3,4% enregistrés en 2015. Mais elle prévient que cet objectif ne sera atteint que si les prix des matières premières se stabilisent et que les contraintes énergétiques sont levées.

Le rapport est cependant moins optimiste quant à la levée des obstacles relatifs à l’énergie. « La crise énergétique risque même d’empirer en raison de l’absence de réformes pourtant nécessaires dans de nombreux pays.», avertit l’institution.

Cette analyse intervient dans un contexte où la plupart des pays d’Afrique sub-saharienne sont en proie à une crise énergétique aiguë. La sécheresse, l’insuffisance des investissements dans le secteur énergétique et le manque de réformes pour rendre le secteur énergétique attractif pour les investisseurs privés sont les principales causes de ce déficit.
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