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Afrique: 2016, l’année de grands rendez-vous électoraux (dossier)
Publié le mardi 26 janvier 2016  |  Africa Rdv


© Présidence de CI par DR
Sommet extraordinaire de la CEDEAO au Nigéria
Mardi 22 Septembre 2015. Abudja. Le Sommet extraordinaire de la CEDEAO sur la situation au Burkina a vu la participation de plusieurs chefs d`Etat de la sous-région.


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L’année 2016 s’annonce comme celle de grands enjeux électoraux en Afrique. Des élections générales vont se succéder, dans des conditions qui s’annoncent inquiétantes pour certaines alors que cela ne va être qu’un simple passage de « témoin » pour d’autres.

Le premier pays à ouvrir le bal est la Centrafrique. Même si ce n’est que le deuxième tour, les centrafricains sont une fois encore appelés aux urnes le 31 janvier. Le match s’annonce bien rude entre deux anciens caciques des différents pouvoirs de Bangui. Anicet Georges Dologuélé, ancien premier ministre de feu président Ange Félix Patassé aura fort à faire avec Faustin Archange Touadéra ex-premier ministre de François Bozizé.

Février aux couleurs d’Ouganda, du Niger et du Bénin
L’Ougandan devra suivre la marche le 18 février. Là, y règne un homme fort depuis 1986, Yoweri Museveni qui s’accroche à son fauteuil. Son grand challenger Kizza Besigye n’est jamais arrivé à le battre dans les urnes depuis 2001. L’alternative, l’opposition caresse une candidature unique pour battre Yoweri qui a toujours obtenu un score sans appel dès le premier tour.

Le Niger de Mahamadou Issoufou ne sera pas du reste. Il va donner le ton seulement trois jours après l’Ouganda. Le climat n’est pas encore bon enfant avec Hama Amadou qui est gardé derrière les barreaux et l’affaire de tentative de déstabilisation des institutions de l’Etat. Issoufou semble être bien parti pour rester malgré la ténacité du chef de file de l’opposition Seïni Oumarou et de l’ex-chef de l’Etat Mahamane Ousmane.


Boni Yayi lui, est bloqué par les garde-fous constitutionnels. Il devra passer le témoin après deux mandats de cinq années. Là aussi brûle une affaire de tentative d’empoisonnement du chef de l’Etat et de tentative de coup d’Etat, dans laquelle est citée un grand adversaire, Patrice Talon. Encore que le richissime homme d’affaires ne sera pas seul à vouloir empêcher le 28 février, Lionel Zinsou, le protégé de Thomas Boni Yayi. Il y en a au moins 35.
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