Ce mode d’épargne à long terme demeure mal ou peu connu et suscite encore de la méfiance. Sa pénétration est seulement de 1 % en moyenne au sud du Sahara (hors Afrique du Sud).
Les assureurs y voient pourtant déjà un vrai gisement de croissance face au ralentissement de la branche incendie, accidents et risques divers (IARD).... suite de l'article sur Jeune Afrique