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Réformes et évasion fiscale : Agbéyomé Kodjo parle
Publié le lundi 8 aout 2016  |  icilome


© aLome.com par Parfait et Edem Gadegbeku
Déjeuner de presse du parti OBUTS sur la décentralisation
Lomé, le 14 mai 2016. Siège du parti OBUTS. Déjeuner de presse centré autour du débat passionné sur la tenue des élections locales au Togo depuis 1987


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A l’occasion de ses huit ans d’existence, l'Organisation pour Bâtir dans l’Union un Togo Solidaire (OBUTS) a organisé une conférence de presse le samedi 06 Août, occasion pour ce parti de l’opposition de se prononcer sur les questions brûlantes de l’actualité.

Gabriel Mensan Agbéyomé Kodjo, président national du parti, a, sans tabou, développé des argumentaires autour des questions de réformes institutionnelles et constitutionnelles ainsi que sur le sujet de « panama papers » à Wacem.

Si plusieurs cadres de discussions et de grandes rencontres autour de la question des réformes ont été infructueux, le HCRRUN (Haut-Commissariat à la Réconciliation et tau Renforcement de l’Unité Nationale) aurait « réalisé une prouesse » au cours de l’atelier d’une semaine dans la salle Fazao, selon OBUTS qui y a activement pris part.

Agbéyomé Kodjo rapporte que le HCRRUN a travaillé au-delà des attentes des populations car, en dépit des réformes directes requises ici et là (limitation de mandats présidentiels et le scrutin uninominal majoritaire à deux tours), le HCRRUN a statué en toute aise et sans tabou sur : « la suppression du juge unique, l’instauration d’un tribunal électoral, la limitation du mandat présidentiel et l’encadrement des prérogatives du chef de l’Etat, la réévaluation du mode de scrutin, le réajustement du régime politique, la place républicaine de l’armée au sein de la Nation, la gestion des identités ethniques et tribales dans la gouvernance, la modernisation de la gestion du foncier, la régulation adaptée du cadre réglementaire et anthropologique d’exercice des privilèges protocolaires et administratifs de la chefferie traditionnelle, la réduction du déséquilibre régional dans le développement du pays, le reformatage du dispositif parlementaire… ».
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