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Économie

Pour le président de la BAD, le ralentissement des économies africaines devrait durer encore 3 années
Publié le jeudi 1 septembre 2016  |  Agence Ecofin


© aLome.com par Atapointe
Election du président de la BAD: Le Nigérian Akinwumi Adesina succède à Donald Kaberuka
Jeudi 28 Mai 2015. Abidjan. A l`issue des élections pour designer le nouveau président de la Banque Africaine de Développement, le conseil des gouverneurs a porté son choix sur le Nigérian Akinwumi Adesina qui devient ainsi le 8eme président de l`institution.


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Le président de la banque africaine de développement (BAD), Akinwumi Adesina, a estimé que le ralentissement des économies africaines devrait durer environ 3 années supplémentaires, tout en recommandant aux Etats de limiter le recours au marché international de la dette et d’améliorer la collecte des recettes fiscales.

«L’Afrique est confrontée au défi de la hausse de sa dette plutôt qu’à une crise», a-t-il déclaré dans un entretien publié le 30 août sur les colonnes du quotidien financier britannique Financial Times.


La croissance de la plupart des économies africaines a ralenti suite à la chute des cours des matières premières et à la baisse du régime de l’économie chinoise. L'Afrique subsaharienne devrait enregistrer une croissance de 1,6 % en 2016 contre 3,5% en 2105 et une moyenne de 5 à 7 % par an cours de la dernière décennie, selon les projections du Fonds monétaire international (FMI).

De nombreux pays de la région sont déjà aux prises avec une forte diminution des revenus, une augmentation de la dette publique et un important creusement du déficit budgétaire. Au regard de ces vents contraires, M. Adesina a appelé les Etats africains à limiter leurs recours au marché international de la dette.

«Au lieu d’émettre des eurobonds, je pense que les Etats peuvent exploiter les énormes quantités de capitaux disponibles localement pour financer le développement de l’Afrique», a-t-il souligné, notant que les fonds de pension africains disposent de 334 milliards de dollars d’actifs sous gestion alors que les fonds souverains gèrent 164 milliards.




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