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Pour contourner les limites de l’APD/Khardiata Lo N’diaye invite les Etats africains à miser sur leur diaspora pour financer leur développement
Publié le lundi 5 septembre 2016  |  Telegramme 228


© aLome.com par Parfait et Edem Gadegbeku
Réception donnée en l`honneur des 7 lauréats de la 1ère édition de Réussites Diaspora
Lomé, le 11 janvier 2016. Ambassade d`Allemagne au Togo. Les talents des 7 lauréats de la 1ère édition de Réussites Diaspora ont été célébrés en présence de l`Ambassadeur C. Sander et de plusieurs officiels togolais.


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Pour financer le développement des pays du continent africains, il faut des approches innovantes.

C’est une évidence dans la mesure où, tout laisse transparaitre aujourd’hui que les politiques en matière d’aide au développement et surtout l’APD (Aide Publique au Développement », a montré ses limites. C’est en tout cas une partie du message que la Coordinatrice du système des Nations Unies au Togo, Khardiata Lo N’diaye, invitée vendredi dernier du Club diplomatique de Lomé (CDL), a voulu faire passer.


Cette dernière qui abordait pour l’occasion le thème, « Aide ou partenariat au XXIe siècle : entre idées reçues et nouveaux paradigmes », a fait constater durant cette séance présidée par le ministre togolais des Affaires étrangères, Professeur Robert Dussey, que ce dispositif (l’Aide Publique au Développement) qui a vu le jour à la suite de la seconde guerre mondiale pour aider à la reconstruction de l’Europe et assister les nouveaux Etats indépendants d’Afrique a atteint ses limites.

Elle a dès lors, avoué qu’ « il faut avoir l’honnêteté de dire que tout le monde, donateur comme récipiendaires, a pu se tromper à un moment sur la méthode », et que le relais des Etats a été pris par les multinationales et les fondations privées. Il convient dès lors aux Etats africains à son avis de penser à une politique de promotion de leur diaspora dans leur stratégie de développement.

Elle a justifié cette option qu’elle propose, par le fait que la diaspora africaine, dans son rôle de premier plan et « par ses transferts importants, est un formidable relais de croissance à condition d’utiliser judicieusement cette manne bien souvent supérieure aux montants octroyés par les donateurs internationaux ».


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