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Mon Esther (Troisième partie)
Publié le lundi 17 octobre 2016  |  La Voix de la Nation




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Nico pelota à suffisance les nichons de la jeune fille; son dessein inavoué était de se donner assez de temps pour que les effets du produit dont il s’était enduit l’anaconda, se fassent sentir avant de partir à l’assaut de ce cul d’enfer obtenu sans sou déboursé. Ce n’est qu’après une heure d’horloge qu’ils se sont enfermés, que les premiers picotements indiquèrent au bonhomme que le moment tant attendu était arrivé pour consommer l’« agneau sacrificiel ».

Il amena sans mot dire, la go vers le lit et lui fit comprendre par le regard, de lui enlever le pantalon. Parce que le gars était assis sur le lit, la jeune fille eut toutes les peines du monde à sortir le « bangala » de sa tanière, tellement il s’était durci et raidi et était parcouru de veines gorgées de sang. Pour ceux qui ont suivi le film « Anaconda », l’organe donnait l’aspect de ce gros serpent à la recherche d’une grotte mielleuse dans laquelle il irait se ficher. Mais, mystère de la gent féminine, la vue de cet énorme épieu n’avait rien d’ahurissant pour Esther, bien au contraire. Elle l’avala d’un trait et dans son excitation de recevoir en elle ce pilon, remuait dans le vide la croupe en signe d’impatience.

La nature ayant horreur du vide, Nico tournoya la croupe de la gonzesse de manière à ce qu’ils soient tête-bêche. « Sais-tu comment s’appelle cette posi… ? », s’enquit le gars. Il n’eut pas le temps de terminer la question. « Le 69 », coupa la go. Mais lorsqu’il capta le clito et fit faire une sarabande à sa langue sur le bouton et à l’intérieur des grandes lèvres, il comprit qu’Esther, sous ses airs de fille sélective, était une véritable bombe sexuelle. Mais alors, il lui ferait comprendre qu’en matière de jouissance, elle ne détenait pas la paternité de l’expertise. La langue foutue dans son minou, Nico osa un index dans « l’astérisque » de la fille qui ne s’y attendait point. Elle mordit violemment le membre du gars et projeta sa croupe sur son visage, sous elle. Par jets saccadés, elle prit son pied, se triturant les seins et mimant une femme en transe.

Nico se sortit de sous la fille et, calé derrière elle tout en relevant la croupe de façon à ce qu’elle soit à hauteur de son pénis raide comme une barre de fer, il s’enfonça d’un trait en elle, le minou étant déjà mouillé à suffisance.

Le principe actif de l’élixir étant de désensibiliser la peau du membre, il se mit à pilonner le postérieur de cette fille qu’il veut soumettre à tout prix. Tantôt comprimant les deux fesses afin que la pénétration soit plus sensitive, tantôt les écartant à les fendre pour mieux se plonger au plus profond d’elle. Lorsqu’elle osa passer sa main sous elle pour tenir les couilles de Nico dans leurs mouvements, elle le regretta aussitôt car celui-ci lui mit le feu à ses fesses. Le pilonnage fut si intensif que très tôt, l’humidité vaginale disparut sous l’effet combiné des coups de boutoir et du ventilo. C’est en suppliant Nico que la go pût reprendre son souffle mais au finish, le gars fit des dégâts dans son entrecuisse qui prit congé tard dans la nuit, vaincue et amochée. Depuis ce jour, elle ne lui adressa plus la parole et prévint toutes ses copines de se méfier du nouveau venu dans la bourgade.

Fin.

Godson K.
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