CAN 2017: L’équipementier pour habiller les Eperviers enfin choisi !

Sport

Publié le dimanche 30 octobre 2016 | Togo breaking news

© aLome.com par Edem Gadegbeku et Parfait
Match amical Togo-Zambie soldé par une courte victoire togolaise
Lomé, le 27 mai 2016. Stade Omnisports de la capitale togolaise. Claude Leroy arrache sa première victoire officielle avec les Eperviers, victoire marquée par la présence d`Emmanuel Adebayor et une grosse affluence du public loméen.

Vos outils

REAGISSEZ

Vidéos

Togo, Troisième journée du championnat national

- 1/10/2016

Dans le dossier

Sports et autres disciplines 2016

Le Choix aura été rude mais il est finalement fait. Selon toute vraisemblance, les Eperviers du Togo ne porteront pas les maillots griffés Sergio à la Coupe d’Afrique des Nations (CAN), Gabon 2017. A l’issue de l’appel d’offres, la Fédération togolaise de football (FTF) et le gouvernement togolais ont finalement arrêté un choix et ce sera un équipementier européen, bien connu qui habillera la sélection.

Et ce ne sera ni Sergio, ni Errea qui habilleront les Eperviers à la CAN 2017. Après étude des différentes propositions faites au Togo, une commission mixte FTF-Ministère des sports a décidé de choisir Macron pour fournir les équipements à la sélection togolaise pour son expédition gabonaise en janvier prochain.

Le choix répond à la volonté du Comité exécutif de la FTF de tenir dans le délai de la Confédération Africaine de Football (CAF) qui a envoyé un cahier de charges claires avec des conditions contraignantes.

A l’analyse, il était apparu que Sergio n’a pas encore la côte pour répondre aux exigences de la CAF qui réclamait déjà des spécimens des maillots avec le logo de la firme et bien d’autres contraintes.

De l’autre, la proposition du sélectionneur national, Claude LeRoy d’attribuer le marché à l’équipementier Errea n’a pas non plus abouti. Les maillots de Errea ont été boudés par les Eperviers qui parlent de haillon ou même d’Agbara’.

Dans ces conditions, la FTF se devait de décider en toutes responsabilités. Et là, il ne restait que le choix possible de Macron qui était également sur le coup. ... suite de l'article sur Autre presse

Commentaires