Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Togo    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Diplomatie
Article



 Titrologie



Jeune Afrique N° 2922 du

Voir la Titrologie

  Sondage


 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Diplomatie

Nana Akufo-Addo investi comme nouveau président du Ghana
Publié le samedi 7 janvier 2017  |  Jeune Afrique


© Autre presse par La CROIX
Nana Addo Dankwa Akufo-Addo, né le 29 mars 1944 à Kyebi, est un avocat et homme politique ghanéen, membre du Nouveau Parti Patriotique, et PR du Ghana


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier


Nana Akufo-Addo devait prêter serment samedi comme nouveau président du Ghana, après avoir battu le chef de l'Etat sortant John Dramani Mahama lors de l'élection présidentielle du 7 décembre.


Ancien défenseur des droits de l’Homme, âgé de 72 ans, M. Akufo-Addo sera investi lors d’une cérémonie au square de l’Indépendance, dans le centre d’Accra, devant plus de 6.000 invités et spectateurs.

Onze chefs d’État africains sont attendus, ainsi que le président sortant et les anciens dirigeants John Rawlings et John Kufuor.

Les forces de police de la capitale ont prévu de renforcer la sécurité lors de l’investiture, notamment sur les principaux axes autour du lieu choisi pour la cérémonie.


Les commerçants ont déjà installé leurs stands à proximité du square de l’Indépendance à la veille de la cérémonie, pour vendre des drapeaux du Ghana et des gadgets du Nouveau parti patriotique de Nana Akufo-Addo.

La victoire électorale de M. Akufo-Addo et la transition pacifique du pouvoir ont renforcé l’image du Ghana, perçu comme un modèle de stabilité dans une région souvent turbulente.

«Le Ghana s’est distingué pendant ces 25 dernières années comme étant un pays d’intégrité et de transparence », avait estimé à la proclamation des résultats l’un des observateurs du scrutin, Johnnie Carson, de l’Institut national démocratique.

Le nouveau président élu avait déclaré à l’AFP que les dirigeants qui souhaitaient rester en fonction à tout prix « naviguaient à contre-courant de l’Histoire ».
... suite de l'article sur Jeune Afrique


 Commentaires