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Les Eperviers commémorent le 7e anniversaire du drame de Cabinda
Publié le lundi 9 janvier 2017  |  Togo breaking news


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Dodo Abalo
Les Eperviers se qualifient pour la CAN, 4 ans après leur dernière participation
Lomé, le 04 septembre 2016. Stade de Kégué. Devant un faible mais bouillant public, les joueurs de Claude Leroy offrent à leur coach sa 9è qualification pour une phase finale de la CAN, en battant de limités Djiboutiens 5-0. Adebayor a raté un penalty durant ce match, en seconde mi-temps.


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8 janvier 2010-8 janvier 2017, il y a exactement 7 ans que la délégation de l’équipe nationale togolaise a été prise pour cible par des rebelles séparatistes de l’enclave de Cabinda (Angola). En stage de préparation depuis le 02 janvier dernier à Saly au Sénégal, l’équipe nationale togolaise s’est souvenue de cette attaque.

En effet, alors que la délégation togolaise se rendait à Cabinda, dans le cadre de la CAN 2010 organisée par l’Angola, des rebelles du Front pour la libération de l'Enclave de Cabinda (FLEC) ont fusillée le bus. Le bilan faisait état de deux morts et plusieurs blessés dans la délégation togolaise.

Au bout de l'attaque qui a duré une bonne demi-heure, Amélété Abalo, le Coach adjoint des Eperviers et Stan Oclo'o, le chargé de communication de l'équipe ont perdu la vie. Serge Akakpo, le docteur Wadja (le Kiné de l’équipe), Elitsa Lanou (le Directeur technique), Nibombé Waké (l'entraineur des gardiens) et Obilalé Kodjovi (le gardien de but) ont été atteints par des balles.

A l’époque, le Togo s'était retiré de la compétition pour la sécurité de ses ressortissants. Ce 08 janvier 2017, le pays se rappelle encore de cette attaque et des prières sont faites pour le repos de l'âme de ceux qui ont perdu la vie.

Obilalé Kodjovi complètement hors de danger a publié en 2015 un livre (Destin Foudroyé) sur ce qui s’était passé et attend que la justice fasse son travail. De son côté, Nibombé Waké qui avait reçu une balle dans la jambe est rentré dans l’anonymat.

Sept ans après l’attaque, l'Etat angolais, pays organisateur de la CAN 2010 et la CAF tardent toujours à réagir pour dédommager les victimes qui attendent toujours.
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