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Croissance : la Banque mondiale entrevoit une éclaircie en Afrique
Publié le jeudi 12 janvier 2017  |  Jeune Afrique


© aLome.com par Atapointe
Assemblée du printemps du FMI et de la Banque mondiale: Photo de famille des gouverneurs et ministres en charges des finances
Samedi 18 Avril 2015. Washington (USA).Comme il est de coutume, les gouverneurs et ministres en charges des finances présents aux assemblées du printemps du FMI et de la Banque Mondiale se sont prêtés à la Photo de famille.


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Dans ses perspectives de croissance pour 2017, rendues publiques mardi soir, l'institution financière internationale table sur une reprise des économies du Maghreb et d'Afrique subsaharienne. Une reprise sur laquelle, le même jour, deux agences de notation financière demeuraient plus que prudentes.


Après avoir bouclé l’année sur une croissance de 1,5% — la plus basse depuis 20 ans et encore en-dessous des 1,6% sur laquelle elle tablait en septembre — la Banque mondiale s’attend à mieux pour 2017.

La croissance des 43 pays d’Afrique subsaharienne qu’elle passe régulièrement en revue devraient croître de 2,9% cette année, un peu au-dessus des 2,7% auxquels les économistes de Washington s’attendent mondialement.

Le constat est le même au Maroc (4% attendus en 2017 après 1,5% en 2016), en Tunisie (3%, après 2% en 2016) ou en Égypte (4,4% contre 4,2% fin 2016), mais pas en Algérie. Le pays est éminemment dépendant des exports d’hydrocarbures, son déficit public s’accroît et entraîne un durcissement des dépenses publiques.

Sans surprise, les économies globalement très tributaires des exports de matières premières, dont les cours demeurent moroses, ne relèveront pas la tête.
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