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Sidiki Kaba salue le retour de la Gambie à la CPI
Publié le lundi 20 fevrier 2017  |  Le Temps




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Le Président de l’Assemblée des Etats Parties se félicite de la décision de la Gambie de ne pas se retirer du Statut de Rome de la CPI.

Trois mois seulement après sa notification de retrait sa décision de se retirer du Statut de Rome de la Cour pénale internationale (CPI) au Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies, la Gambie fait son retour, à la faveur du départ du pouvoir de l’ex-président, Yahya Jammeh.

Le Président de l’Assemblée des Etats Parties au Statut de Rome de la Cour pénale internationale (CPI), Sidiki Kaba salue la décision prise par le Gouvernement récemment élu de la Gambie, selon une dépêche de l’APO.

« Cette importante décision marque l’engagement renouvelé des nouvelles autorités de la Gambie envers la CPI et des valeurs communes à tous les États parties de poursuivre les crimes les plus graves qui choquent la conscience de l’humanité », a déclaré le Président Kaba.

Le retour salué de la Gambie intervient dans un contexte politique où de nombreux pays africains, dont l’Afrique du Sud, ont fait part de leur volonté de se retirer du Statut de Rome.

« Je suis convaincu que le soutien continu de la communauté internationale et la coopération des États restent nécessaires pour assurer l’efficacité de la CPI », a ajouté le Président.

Le retour de la Gambie vient renforcer le camp du maintien au sein de la CPI. Lors du sommet de l’Union Africaine en janvier dernier, les pays semblent divisés sur le sujet.

Des dirigeants contre la CPI

Certains dirigeants africains et les élites accusent la CPI de deux poids deux mesure en ne jugeant que les Africains. S’il est sans conteste que les Africains constituent le plus gros contingent des dirigeants politiques poursuivis, il n’en demeure pas moins que des leaders politiques d’autres continents sont également dans sa ligne de mire.

On peut objecter aux Africains que plusieurs pays du continent disposent d’un appareil judiciaire fiable pour mener en toute sérénité les procès pour crime contre l’humanité et en matière de justice de transition.
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