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Plongée dans le mystère du foncier au Togo : La bombe à retardement d’une politique désarticulée, à qui profite le crime ?
Publié le lundi 20 fevrier 2017  |  icilome


© Autre presse
Foncier : prise de tête pour les notaires


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S.O.S : il est grand temps que l’Etat nationalise les terres au Togo S.V.P. La politique foncière au Togo, si elle existe, est désormais une arène désarticulée où se bousculent les intérêts de toutes couleurs. Intérêts financiers, repère de la corruption, centre de blanchiment de réseaux mafieux, doubles ventes, instrumentalisation de la justice, tout est bon pour meubler le décor. L’absence d’une politique foncière est la meilleure politique pour faire de la gestion des terres une caverne d’Ali Baba et donc la drogue des temps modernes au Togo.


Que ce soit dans le monde des géomètres souvent sournois, des propriétaires terriens spécialistes des doubles ventes, d’une race de magistrats et autres auxiliaires de justice corrompus dans tous les sens du mot, la quasi-totalité des acteurs ont compris que, pour s’enrichir à la vitesse de la lumière, il faut embrasser le foncier. Cette triste réalité, dont le débat n’est même pas encore posé, n’a droit de cité qu’au Togo, parce que ce pays demeure un des rares qui refusent d’affronter la réalité foncière en se réfugiant toujours derrière le droit fonciers colonial. Il faut en passant rappeler que le code foncier togolais (loi du 24 Juillet 1906 de l’époque allemande), est actuellement vieux plus de 110 ans. Il est du coup obsolète malgré qu’il soit renforcé par les décrets français du 13 Décembre 1922 et du 15 Août 1934 portant organisation de l’immatriculation des terres au registre foncier. Bref, toute la gestion du foncier émane du triste héritage colonial.
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