La plupart en doutent, malgré la forte demande de jeunes plus qualifiés pour moderniser la production agricole.
Alors peut-on choisir de rester ou de retourner au village quand on a 20 ou 25 ans ? Loin des services offerts par la ville, éducation, santé, connexions internet, électricité. Comment aider les jeunes à accéder à la terre, alors que 95% des terres appartiennent au domaine national sur le continent ? Et pour quels revenus agricoles ?
Avec
- Anne Panel, directrice de l’Association FERT (Formation pour l’Epanouissement et le Renouveau de la Terre), association de développement agricole créée en 1981
- Haingoarison Randrianomenjanahary, pisciculteur, président de l’association FIS, Solidarité des Intervenants du Foncier, membre du Conseil d’administration du syndicat paysan FIFATA (une association paysanne pour le progrès des paysans)
- Mohamed Naoufel Ben Haha, sous-directeur de l'Aménagement et coordinateur du Programme de développement rural et durable intégré dit « PACTE », dépend du ministère tunisien de l’Agriculture (Direction Générale de l’Aménagement et la Conservation des Terres Agricoles)
- Babacar Diop, ancien maire de la commune de Ross Bethio (commune du nord du Sénégal, à 50 km de Saint-Louis)
- Jean-Luc François, responsable de la Division agriculture et développement rural et biodiversité au sein de l’AFD (Agence Française de Développement).... suite de l'article sur RFI
Focus Eco / La chambre de commerce et d’industrie du Togo (CCIT) présente ses voeux Publié le: 28/2/2017 |