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Assurances : la réforme qui fait trembler les assureurs
Publié le vendredi 3 mars 2017  |  Jeune Afrique


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Parfait
Locaux servant de siège de la CICA-RE (Compagnie Commune de Réassurance des Etats membres de la CIMA) au Togo
Lomé, le 25 février 2017. Créée en 1981 par les Etats Membres de la Conférence Internationale des Contrôles d`Assurances (CICA) devenue depuis la signature du Traité CIMA, la Conférence Interafricaine des Marchés d`Assurances en 1992, la CICA-RE a lancé ses activités le 1er janvier 1984.


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La décision des autorités de régulation d’augmenter le capital minimum requis pour exercer en zone Cima pourrait changer le secteur en profondeur. Suscitera-t‑elle une révolution salutaire ou le chaos ?

«La décision a été prise sans aucune concertation avec les opérateurs. Le fait d’avoir légiféré en quelques mois entraîne le malaise que nous connaissons actuellement. » À la tribune de la 41e assemblée générale de la Fédération des sociétés d’assurances de droit national africaines (Fanaf), Mamadou Faye, administrateur-directeur général de la Sénégalaise de l’assurance-vie, n’a pas mâché ses mots.

Au cours de cette première édition depuis l’annonce en avril 2016 de l’augmentation du capital requis pour exercer en zone Cima (Conférence interafricaine des marchés d’assurances, regroupant 14 pays, du Sénégal au Cameroun), les 1 300 participants semblaient partager le même avis : la réforme était nécessaire pour nettoyer un secteur où trop de petits assureurs opèrent, mais son caractère indifférencié selon les pays ou le type d’activité est une erreur.


«Traiter les compagnies en Centrafrique comme celles opérant en Côte d’Ivoire est surprenant, estime le dirigeant d’un groupe régional. Tout comme le fait de mettre vie et non-vie dans le même panier. Mais je crois que les autorités l’ont compris et que la mise en application de la réforme sera amendée, notamment en donnant davantage de temps».

Les petites entreprises d’assurance, premières victimes

Pour l’instant, le cap fixé est clair : passer à un minimum requis de 3 milliards de F CFA (4,5 millions d’euros) de capital en 2019, puis à 5 milliards en 2021.

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