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Institutions à la solde du régime : Cas de la commission anti-corruption
Publié le mercredi 29 mars 2017  |  icilome


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Le juge Gamato Akakpovi, Président de la Cour Suprême (D) et le Ministre de la Justice Koffi Esaw.


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Il est clair pour tous aujourd’hui que la racine du mal togolais est d’ordre institutionnel. Au Togo, les institutions sont malades des hommes qui les animent. Elles sont toutes affiliées au régime en place qui les utilise à des fins de conservation du pouvoir. Aujourd’hui, les gouvernants ne prennent même pas au sérieux ces institutions qu’ils mettent eux-mêmes en place.


Le cas le plus patent n’est autre que celui de la Haute autorité pour la lutte contre la corruption et les infractions assimilées, dont les membres ont été nommés par décret pris en Conseil des ministres le 3 janvier dernier. La composition de ce machin traduit bien le mal dont souffrent les institutions dans ce pays.

Selon les dispositions en matière de composition de cette haute autorité, il est prévu que le chef de l’Etat nomme 4 des 7 membres qui devraient être dans la commission. Donc ces 4 membres sont issus du régime en place.

Le président de l’Assemblée nationale, qui est un produit du même régime, nomme 1 membre. 1 membre sera nommé par le président du Sénat. Et comme le Togo n’a pas de Sénat, cela revient encore au président de l’Assemblée nationale. 1 autre membre (le dernier) sera nommé par le président de la Cour des Comptes, qui est lui-même nommé par le chef de l’Etat.
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