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Etat de la STI en Afrique/Les pays africains ont des efforts à faire pour ne pas rester à la traîne
Publié le vendredi 14 avril 2017  |  L’Union


© aLome.com par Parfait
Faure Gnassingbé inaugure le premier Lycée scientifique du Togo doté d`infrastructures modernes et multiples
Lomé, le 23 octobre 2015. Enceinte du Lycée de Tokoin de Lomé. Faure Gnassingbé, entouré des principaux officiels du Togo inaugure le Lycée scientifique de Lomé construit par la Chine sur deux ans, d`un coût de plus de 6 milliards de fcfa.


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Les pays africains ont bel et bien manifesté leur intérêt et leur volonté de travailler en vue d’un développement axé sur la Science, la technologie et l’innovation (STI) dans les années à venir.

Les chefs d’Etat et décideurs d’Afrique, à travers l’Agenda 2063 et la Position africaine commune dans l’agenda 2030, ont mis l’accent sur la STI, comme principaux leviers pour renforcer les capacités des pays africains en vue d’atteindre les objectifs de transformation économique et de développement.

Selon le rapport sur les capacités en Afrique 2017, la plupart des pays africains ont des institutions de STI insuffisamment développées et ne parviennent pas à produire et à déployer efficacement des connaissances et innovations technologiques en vue de la croissance socio-économique.

« Ce défi reflète, dans une large mesure, la faible dotation des institutions de STI en compétences et expertises, en ressources financières, en capacités infrastructurelles et équipement, entre autres », indique le rapport.

Il est cependant encourageant, poursuit-il, de constater qu’il est possible de construire des institutions de STI et de les utiliser pour la transformation socioéconomique, car un bon nombre de pays africains connaissent des réussites concrètes basées sur des stratégies et des initiatives pouvant facilement être adaptées à d’autres pays.

« Malgré l’importance croissante accordée aux STI pour le développement de l’Afrique, il existe encore d’importants goulets d’étranglement en matière de capacité qui empêchent les pays de mettre à contribution les STI dans le développement national », ajoute le rapport.

Sur la base des faits, il a été établi que les pays africains n’ont pas de capacités humaines et institutionnelles appropriées, manquent de compétences techniques essentielles et de ressources nécessaires pour promouvoir les STI.

Parmi les principales conclusions, le Rapport montre que 91% des 44 pays africains ayant fait l’objet de l’étude considèrent que la formation en STI se situe à un niveau de priorité élevé ou très élevé.
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