Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Togo    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Afrique
Article



 Titrologie



Jeune Afrique N° 2935-2936 du

Voir la Titrologie

  Sondage


 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Afrique

Burkina : Blaise Compaoré défendu par l’avocat français Pierre-Olivier lors du procès du gouvernement Tiao
Publié le mercredi 19 avril 2017  |  Jeune Afrique


© Abidjan.net par Atapointe
Ouverture du 44è sommet de la CEDEAO à Yamoussoukro en présence de 14 chefs d’Etat
Vendredi 28 Mars 2014. Yamoussoukro. Le 44è sommet ordinaire de la Communauté économique des Etats de l`Afrique de l`Ouest (CEDEAO) s`est ouvert en présence de 14 Chefs d`Etat de la sous-région ouest-africaine. Photo : Blaise Compaoré, Président du Burkina Faso


 Vos outils




C’est au titre d’ex-ministre de la Défense que l’ancien président burkinabè Blaise Compaoré sera jugé à partir du 27 avril à Ouagadougou aux côtés de 32 anciens ministres du gouvernement de Luc Adolphe Tiao. Sans surprise, l’ex-chef d’État ne se présentera pas devant les juges.

Le procès devant la Haute Cour de justice devrait, sauf rebondissement, s’ouvrir en l’absence du principal accusé, l’ancien président burkinabè Blaise Compaoré. Depuis son domicile d’Abidjan, en Côte d’Ivoire − pays dont il a acquis la nationalité −, l’ancien chef de l’État, poursuivi en tant qu’ex-ministre de la Défense, a fait savoir qu’il ne se rendrait pas à Ouagadougou le 27 avril prochain. Il sera en revanche représenté par son avocat français, Pierre-Olivier Sur.

Ce dernier, ancien bâtonnier du barreau de Paris, défend déjà les intérêts de François Compaoré, frère cadet de l’ancien Président. Pierre-Olivier Sur était récemment à Abidjan pour le procès des « disparus de Novotel », en marge duquel il s’est entretenu avec l’ex-chef de l’État burkinabè.

32 ministres poursuivis, dont Luc Adolphe Tiao

Au cœur des prochaines audiences devant la Haute Cour de justice : l’examen de la responsabilité des membres du gouvernement de Luc Adolphe Tiao dans la répression meurtrière de l’insurrection populaire de l’automne 2014, qui avait chassé du pouvoir l’ancien Président.
... suite de l'article sur Jeune Afrique


 Commentaires