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Triomphe de la démocratie française/Jean Eklou fait une comparaison avec le Togo
Publié le mercredi 17 mai 2017  |  Emergence Togo


© aLome.com par Parfait et Edem Gadegbeku
1er meeting en 2016 de la Jeunesse de l`ANC à Anfamé
Lomé, le 31 janvier 2016. Quartier Anfamé. L`ANC remobilise ses militants et sympathisants pour des batailles politiques à venir, à partir de ses bastions implantés dans la capitale togolaise. C`était en présence du doyen Godwin TETE.


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Le chef de l’Etat français a prêté serment dimanche à l’âge de 39 ans. Cela suscite beaucoup d’admiration à travers le monde entier, surtout en Afrique. Cette prouesse est plus que jamais un stimulus pour la jeunesse qui doit se battre pour arracher sa place dans les sphères politiques.
Aujourd’hui, l’on s’interroge sur ce courage du jeune chef d’Etat français qui s’est frayé un chemin face aux « vieux loups dans la bergerie».

A cette interrogation, Jean Eklou, président de la jeunesse de l’Alliance nationale pour le changement (ANC), tente d’apporter des clarifications.
«Macron a eu un parcours agréable.

Les Macron, nous en avons tellement connus chez nous. Et cela suscite beaucoup d’enthousiasme chez nous à l’ANC. Mais Macron a eu cette chance parce que les institutions fonctionnent normalement. Le peuple français a décidé de le porter à la tête du pouvoir et l’armée n’a pas fait obstruction. Si notre paysage politique était à l’image de celui de la France, le Togo connaîtrait depuis ce phénomène », a-t-il laissé entendre.

Macron serait né en Afrique, au Togo plus précisément, qu’on ne le connaîtrait pas. Ce qui démontre à suffisance qu’ « il y a des obstacles institutionnels qui font que les Macron au Togo n’émergent pas. Bien que notre constitution dise qu’à partir de 35 ans, on peut postuler pour la magistrature suprême, le fauteuil présidentiel n’est jamais mis en jeu », avise Jean Eklou.

Toutefois, il « demande à la jeunesse togolaise de faire feu de tous bois pour qu’il n’y ait plus de la triche. Il faut que le débat politique soit très ouvert et que les institutions fonctionnent normalement. Nous devons nous aussi nous battre pour qu’on puisse connaitre le phénomène similaire. »
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