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Pour la BAD, l’agriculture est une chance pour l’Afrique
Publié le mercredi 24 mai 2017  |  RFI


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Parfait
Makhtar Diop, Vice-président de la Banque mondiale pour l`Afrique, pose la 1ère pierre pour la construction du bâtiment et des laboratoires spécialisés du CERSA
Lomé, le 06 avril 2017. Université de Lomé, CERSA (Centre régional d`excellence sur les sciences aviaires). Makhtar Diop, Vice-président de la Banque mondiale pour l`Afrique, conclut une visite de travail de 24h au Togo en touchant du doigt le fonctionnement quotidien du CERSA. L`ouverture de ce Centre a été financé par la Banque mondiale dans le cadre du "Projet des centres d`excellence africains qui soutient l`enseignement des sciences et technologies dans les Universités en Afrique occidentale et centrale via 22 sous-projets. Au CERSA, Makhtar Diop a aussi procédé à la pose de la 1ère pierre pour la construction du bâtiment et des laboratoires spécialisés de ce Centre régional, en compagnie du ministre Broohm (de l`Enseignement supérieur du Togo), de Jacob Kokou Tona (Directeur du CERSA) et du Président de l`UL, Pr Kokoroko.


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L’agriculture, avenir du continent ? C'est ce qu'on entend beaucoup dans les assemblées générales de la Banque africaine de développement (BAD) qui ont débuté en Inde à Ahmedabad avec quelque 5 000 participants venus de tout le continent, des banquiers, des ministres, de hauts fonctionnaires, des économistes... L'agriculture est donc au cœur de ce rendez-vous, un secteur à « transformer pour créer de la richesse en Afrique ».

L’Afrique, qui possède aujourd’hui 65% des terres arables non cultivées au monde, continue à importer de quoi se nourrir. Et la facture est lourde, 35 milliards de dollars chaque année. Plus grave, si rien n’est fait rapidement, ce sont bientôt 100 milliards par an que les Etats africains devront débourser d’ici 2030, juste pour subvenir aux besoins alimentaires de leurs populations.

Il y a donc urgence à investir dans l’agriculture, d’abord pour nourrir les populations, mais pas seulement, car à en croire la Banque africaine de développement, de la transformation de l’agriculture viendra le développement. Son président, le Nigérian Akinwumi Adésina, ancien ministre de l’Agriculture et du développement rural - ce n’est peut-être pas un hasard - l’a rappelé encore ce mardi matin : « Aucune région au monde ne s’est développée sans transformer son secteur agricole ».

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