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Réformes: Abbas Kaboua pense au référendum et se dresse contre l’appel à la révolte
Publié le vendredi 2 juin 2017  |  Global Actu


© aLome.com par Parfait et Edem Gadegbeku
Point de presse du MRC sur les locales et les revenus mensuels des députés du Togo
Lomé, le 23 mars 2016. Hôtel ACROPOLIS. Le MRC, à travers Abass KABOUA, dénonce l`augmentation d`environ 85% du traitement mensuel des députés togolais au détriment des autres fonctionnaires de la République. Ce parti exige aussi la révision du fichier électoral togolais avant toute nouvelle élection.


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Tous ceux qui appellent la population à la révolte pour que les réformes constitutionnelles et institutionnelles soient réalisées au Togo, verront Abbas Kaboua sur leur chemin. Il est plutôt temps que l’opposition prépare les esprits à accepter le référendum et à voter pour le «non».

C’est la position claire que le président Mouvement des républicains centristes (MRC, opposition) a affichée ce jeudi dans l’émission «Taxi Presse» de la radio Taxi FM.

Selon ce tonitruant acteur politique togolais, l’opposition parlementaire (ndlr) fait perdre le temps à la population quand elle continue d’exiger que ces réformes soient réalisées à l’Assemblée nationale. «Ils savent que cela ne marchera pas. Sur 91 députés, l’opposition compte 27 et parmi ces 27, il y a encore des positions divergentes», a-t-il indiqué.

M. Kaboua qualifie même ce que cette opposition est en train de demander de «diversion» et de "fonds de commerce" pour ceux qui veulent voir les réformes faites à travers l’institution parlementaire.

Pour résoudre le problème qui se pose aujourd’hui, a-t-il proposé, il n’y a pas mieux que d’aller au référendum.

Et le problème, selon lui, c’est qu’en l’état actuel, la Constitution de 1992 qui consacre la limitation du nombre de mandats présidentiels à deux (2), est contestée par une partie des Togolais et celle issue de la révision constitutionnelle de décembre 2002 qui a sauté la limitation de mandats, est aussi contestée par une autre partie.

D’ailleurs, a-t-il conclu, qu’on le veuille ou non, c’est le référendum qui se fera. «Pourquoi perdre encore du temps ?», s’est-il demandé.
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