Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Togo    Publicité
class=logo ACTUALITÉS PHOTOS
Comment

Accueil
News
Photos
Politique
Photo


 Dans le dossier



Comment


 Dans la presse écrite

Politique

Les Sentinelles «useront de toutes actions constitutionnelles» pour empêcher la tenue du scrutin de décembre 2018 et en appellent à la mobilisation de la jeunesse
Publié le 19 septembre 2018 | aLome.com |  Photographe : Edem GADEGBEKU & J. TCHAKOU | Photo N˚76097


Photo précédente  Photo suivante


Lomé, le 15 septembre 2018. Brother Home. Le Mouvement «Les Sentinelles de la République» dit s’opposer à toute élection au Togo sans les réformes pendantes depuis 2006. En conférence de presse, le mouvement «Les Sentinelles de la République» pense qu’aucune élection ne devra avoir lieu au Togo avant la mise en œuvre des réformes politiques et institutionnelles. Cette sortie se justifie par la volonté du pouvoir togolais d’organiser les législatives le 20 décembre prochain alors que des partis politiques de l’opposition réclament l`opérationnalisation des Recommandations de la CEDEAO. Les Sentinelles «useront de toutes actions constitutionnelles» pour empêcher la tenue du scrutin de décembre 2018 et en appellent à la mobilisation de la jeunesse togolaise.



 Qui est sur la photo ?


 Autres photos
Les Sentinelles «useront de toutes actions constitutionnelles» pour empêcher la tenue du scrutin de décembre 2018 et en appellent à la mobilisation de la jeunesse
Lomé, le 15 septembre 2018. Brother Home. Le Mouvement «Les Sentinelles de la République» dit s’opposer à toute élection au Togo sans les réformes pendantes depuis 2006. En conférence de presse, le mouvement «Les Sentinelles de la République» pense qu’aucune élection ne devra avoir lieu au Togo avant la mise en œuvre des réformes politiques et institutionnelles. Cette sortie se justifie par la volonté du pouvoir togolais d’organiser les législatives le 20 décembre prochain alors que des partis politiques de l’opposition réclament l`opérationnalisation des Recommandations de la CEDEAO. Les Sentinelles «useront de toutes actions constitutionnelles» pour empêcher la tenue du scrutin de décembre 2018 et en appellent à la mobilisation de la jeunesse togolaise. .

Voir la photo

Les Sentinelles «useront de toutes actions constitutionnelles» pour empêcher la tenue du scrutin de décembre 2018 et en appellent à la mobilisation de la jeunesse
Lomé, le 15 septembre 2018. Brother Home. Le Mouvement «Les Sentinelles de la République» dit s’opposer à toute élection au Togo sans les réformes pendantes depuis 2006. En conférence de presse, le mouvement «Les Sentinelles de la République» pense qu’aucune élection ne devra avoir lieu au Togo avant la mise en œuvre des réformes politiques et institutionnelles. Cette sortie se justifie par la volonté du pouvoir togolais d’organiser les législatives le 20 décembre prochain alors que des partis politiques de l’opposition réclament l`opérationnalisation des Recommandations de la CEDEAO. Les Sentinelles «useront de toutes actions constitutionnelles» pour empêcher la tenue du scrutin de décembre 2018 et en appellent à la mobilisation de la jeunesse togolaise. .

Voir la photo

Les Sentinelles «useront de toutes actions constitutionnelles» pour empêcher la tenue du scrutin de décembre 2018 et en appellent à la mobilisation de la jeunesse
Lomé, le 15 septembre 2018. Brother Home. Le Mouvement «Les Sentinelles de la République» dit s’opposer à toute élection au Togo sans les réformes pendantes depuis 2006. En conférence de presse, le mouvement «Les Sentinelles de la République» pense qu’aucune élection ne devra avoir lieu au Togo avant la mise en œuvre des réformes politiques et institutionnelles. Cette sortie se justifie par la volonté du pouvoir togolais d’organiser les législatives le 20 décembre prochain alors que des partis politiques de l’opposition réclament l`opérationnalisation des Recommandations de la CEDEAO. Les Sentinelles «useront de toutes actions constitutionnelles» pour empêcher la tenue du scrutin de décembre 2018 et en appellent à la mobilisation de la jeunesse togolaise. .

Voir la photo

Les Sentinelles «useront de toutes actions constitutionnelles» pour empêcher la tenue du scrutin de décembre 2018 et en appellent à la mobilisation de la jeunesse
Lomé, le 15 septembre 2018. Brother Home. Le Mouvement «Les Sentinelles de la République» dit s’opposer à toute élection au Togo sans les réformes pendantes depuis 2006. En conférence de presse, le mouvement «Les Sentinelles de la République» pense qu’aucune élection ne devra avoir lieu au Togo avant la mise en œuvre des réformes politiques et institutionnelles. Cette sortie se justifie par la volonté du pouvoir togolais d’organiser les législatives le 20 décembre prochain alors que des partis politiques de l’opposition réclament l`opérationnalisation des Recommandations de la CEDEAO. Les Sentinelles «useront de toutes actions constitutionnelles» pour empêcher la tenue du scrutin de décembre 2018 et en appellent à la mobilisation de la jeunesse togolaise. .

Voir la photo

Les Sentinelles «useront de toutes actions constitutionnelles» pour empêcher la tenue du scrutin de décembre 2018 et en appellent à la mobilisation de la jeunesse
Lomé, le 15 septembre 2018. Brother Home. Le Mouvement «Les Sentinelles de la République» dit s’opposer à toute élection au Togo sans les réformes pendantes depuis 2006. En conférence de presse, le mouvement «Les Sentinelles de la République» pense qu’aucune élection ne devra avoir lieu au Togo avant la mise en œuvre des réformes politiques et institutionnelles. Cette sortie se justifie par la volonté du pouvoir togolais d’organiser les législatives le 20 décembre prochain alors que des partis politiques de l’opposition réclament l`opérationnalisation des Recommandations de la CEDEAO. Les Sentinelles «useront de toutes actions constitutionnelles» pour empêcher la tenue du scrutin de décembre 2018 et en appellent à la mobilisation de la jeunesse togolaise. .

Voir la photo

Les Sentinelles «useront de toutes actions constitutionnelles» pour empêcher la tenue du scrutin de décembre 2018 et en appellent à la mobilisation de la jeunesse
Lomé, le 15 septembre 2018. Brother Home. Le Mouvement «Les Sentinelles de la République» dit s’opposer à toute élection au Togo sans les réformes pendantes depuis 2006. En conférence de presse, le mouvement «Les Sentinelles de la République» pense qu’aucune élection ne devra avoir lieu au Togo avant la mise en œuvre des réformes politiques et institutionnelles. Cette sortie se justifie par la volonté du pouvoir togolais d’organiser les législatives le 20 décembre prochain alors que des partis politiques de l’opposition réclament l`opérationnalisation des Recommandations de la CEDEAO. Les Sentinelles «useront de toutes actions constitutionnelles» pour empêcher la tenue du scrutin de décembre 2018 et en appellent à la mobilisation de la jeunesse togolaise. .

Voir la photo

Les Sentinelles «useront de toutes actions constitutionnelles» pour empêcher la tenue du scrutin de décembre 2018 et en appellent à la mobilisation de la jeunesse
Lomé, le 15 septembre 2018. Brother Home. Le Mouvement «Les Sentinelles de la République» dit s’opposer à toute élection au Togo sans les réformes pendantes depuis 2006. En conférence de presse, le mouvement «Les Sentinelles de la République» pense qu’aucune élection ne devra avoir lieu au Togo avant la mise en œuvre des réformes politiques et institutionnelles. Cette sortie se justifie par la volonté du pouvoir togolais d’organiser les législatives le 20 décembre prochain alors que des partis politiques de l’opposition réclament l`opérationnalisation des Recommandations de la CEDEAO. Les Sentinelles «useront de toutes actions constitutionnelles» pour empêcher la tenue du scrutin de décembre 2018 et en appellent à la mobilisation de la jeunesse togolaise. .

Voir la photo

N. Habia de nouveau en grève de la faim devant une ambassade, cette fois-ci en grève illimitée devant la représentation diplomatique du Ghana au Togo
Lomé, le 18 septembre 2018. Enlisement politique au Togo: Nicodème Habia (membre de la C14) de nouveau en grève de la faim devant une ambassade, cette fois-ci en grève illimitée devant la représentation diplomatique du Ghana au Togo. Cet opposant dénonce les atermoiements du pouvoir togolais depuis les Recommandations du 31 juillet de la CEDEAO à la classe politique du Togo. .

Voir la photo

N. Habia de nouveau en grève de la faim devant une ambassade, cette fois-ci en grève illimitée devant la représentation diplomatique du Ghana au Togo
Lomé, le 18 septembre 2018. Enlisement politique au Togo: Nicodème Habia (membre de la C14) de nouveau en grève de la faim devant une ambassade, cette fois-ci en grève illimitée devant la représentation diplomatique du Ghana au Togo. Cet opposant dénonce les atermoiements du pouvoir togolais depuis les Recommandations du 31 juillet de la CEDEAO à la classe politique du Togo. .

Voir la photo

N. Habia de nouveau en grève de la faim devant une ambassade, cette fois-ci en grève illimitée devant la représentation diplomatique du Ghana au Togo
Lomé, le 18 septembre 2018. Enlisement politique au Togo: Nicodème Habia (membre de la C14) de nouveau en grève de la faim devant une ambassade, cette fois-ci en grève illimitée devant la représentation diplomatique du Ghana au Togo. Cet opposant dénonce les atermoiements du pouvoir togolais depuis les Recommandations du 31 juillet de la CEDEAO à la classe politique du Togo. .

Voir la photo

N. Habia de nouveau en grève de la faim devant une ambassade, cette fois-ci en grève illimitée devant la représentation diplomatique du Ghana au Togo
Lomé, le 18 septembre 2018. Enlisement politique au Togo: Nicodème Habia (membre de la C14) de nouveau en grève de la faim devant une ambassade, cette fois-ci en grève illimitée devant la représentation diplomatique du Ghana au Togo. Cet opposant dénonce les atermoiements du pouvoir togolais depuis les Recommandations du 31 juillet de la CEDEAO à la classe politique du Togo. .

Voir la photo

N. Habia de nouveau en grève de la faim devant une ambassade, cette fois-ci en grève illimitée devant la représentation diplomatique du Ghana au Togo
Lomé, le 18 septembre 2018. Enlisement politique au Togo: Nicodème Habia (membre de la C14) de nouveau en grève de la faim devant une ambassade, cette fois-ci en grève illimitée devant la représentation diplomatique du Ghana au Togo. Cet opposant dénonce les atermoiements du pouvoir togolais depuis les Recommandations du 31 juillet de la CEDEAO à la classe politique du Togo. .

Voir la photo

N. Habia de nouveau en grève de la faim devant une ambassade, cette fois-ci en grève illimitée devant la représentation diplomatique du Ghana au Togo
Lomé, le 18 septembre 2018. Enlisement politique au Togo: Nicodème Habia (membre de la C14) de nouveau en grève de la faim devant une ambassade, cette fois-ci en grève illimitée devant la représentation diplomatique du Ghana au Togo. Cet opposant dénonce les atermoiements du pouvoir togolais depuis les Recommandations du 31 juillet de la CEDEAO à la classe politique du Togo. .

Voir la photo

N. Habia de nouveau en grève de la faim devant une ambassade, cette fois-ci en grève illimitée devant la représentation diplomatique du Ghana au Togo
Lomé, le 18 septembre 2018. Enlisement politique au Togo: Nicodème Habia (membre de la C14) de nouveau en grève de la faim devant une ambassade, cette fois-ci en grève illimitée devant la représentation diplomatique du Ghana au Togo. Cet opposant dénonce les atermoiements du pouvoir togolais depuis les Recommandations du 31 juillet de la CEDEAO à la classe politique du Togo. .

Voir la photo

N. Habia de nouveau en grève de la faim devant une ambassade, cette fois-ci en grève illimitée devant la représentation diplomatique du Ghana au Togo
Lomé, le 18 septembre 2018. Enlisement politique au Togo: Nicodème Habia (membre de la C14) de nouveau en grève de la faim devant une ambassade, cette fois-ci en grève illimitée devant la représentation diplomatique du Ghana au Togo. Cet opposant dénonce les atermoiements du pouvoir togolais depuis les Recommandations du 31 juillet de la CEDEAO à la classe politique du Togo. .

Voir la photo

N. Habia de nouveau en grève de la faim devant une ambassade, cette fois-ci en grève illimitée devant la représentation diplomatique du Ghana au Togo
Lomé, le 18 septembre 2018. Enlisement politique au Togo: Nicodème Habia (membre de la C14) de nouveau en grève de la faim devant une ambassade, cette fois-ci en grève illimitée devant la représentation diplomatique du Ghana au Togo. Cet opposant dénonce les atermoiements du pouvoir togolais depuis les Recommandations du 31 juillet de la CEDEAO à la classe politique du Togo. .

Voir la photo

N. Habia de nouveau en grève de la faim devant une ambassade, cette fois-ci en grève illimitée devant la représentation diplomatique du Ghana au Togo
Lomé, le 18 septembre 2018. Enlisement politique au Togo: Nicodème Habia (membre de la C14) de nouveau en grève de la faim devant une ambassade, cette fois-ci en grève illimitée devant la représentation diplomatique du Ghana au Togo. Cet opposant dénonce les atermoiements du pouvoir togolais depuis les Recommandations du 31 juillet de la CEDEAO à la classe politique du Togo. .

Voir la photo

Lancement par le CACIT du Rapport sur la situation des droits de l’Homme au Togo et les libertés fondamentales en lien avec la crise socio-politique
Lomé, le 18 septembre 2018. Agora Senghor, Salle Laurier. Conférence de presse du Collectif des Associations Contre l’Impunité au Togo (CACIT). Une conférence de presse marquée par le lancement du Rapport sur la situation des droits de l’Homme au Togo et les libertés fondamentales en lien avec la crise socio-politique togolaise (août 2017- août 2018). 19 morts, 560 personnes arrêtées (dont 53 encore en détention) et au moins 350 civils blessés sont les principaux chiffres issus des violences d`août 2017 à août 2018 selon le CACIT..

Voir la photo

Lancement par le CACIT du Rapport sur la situation des droits de l’Homme au Togo et les libertés fondamentales en lien avec la crise socio-politique
Lomé, le 18 septembre 2018. Agora Senghor, Salle Laurier. Conférence de presse du Collectif des Associations Contre l’Impunité au Togo (CACIT). Une conférence de presse marquée par le lancement du Rapport sur la situation des droits de l’Homme au Togo et les libertés fondamentales en lien avec la crise socio-politique togolaise (août 2017- août 2018). 19 morts, 560 personnes arrêtées (dont 53 encore en détention) et au moins 350 civils blessés sont les principaux chiffres issus des violences d`août 2017 à août 2018 selon le CACIT..

Voir la photo

Lancement par le CACIT du Rapport sur la situation des droits de l’Homme au Togo et les libertés fondamentales en lien avec la crise socio-politique
Lomé, le 18 septembre 2018. Agora Senghor, Salle Laurier. Conférence de presse du Collectif des Associations Contre l’Impunité au Togo (CACIT). Une conférence de presse marquée par le lancement du Rapport sur la situation des droits de l’Homme au Togo et les libertés fondamentales en lien avec la crise socio-politique togolaise (août 2017- août 2018). 19 morts, 560 personnes arrêtées (dont 53 encore en détention) et au moins 350 civils blessés sont les principaux chiffres issus des violences d`août 2017 à août 2018 selon le CACIT..

Voir la photo

Lancement par le CACIT du Rapport sur la situation des droits de l’Homme au Togo et les libertés fondamentales en lien avec la crise socio-politique
Lomé, le 18 septembre 2018. Agora Senghor, Salle Laurier. Conférence de presse du Collectif des Associations Contre l’Impunité au Togo (CACIT). Une conférence de presse marquée par le lancement du Rapport sur la situation des droits de l’Homme au Togo et les libertés fondamentales en lien avec la crise socio-politique togolaise (août 2017- août 2018). 19 morts, 560 personnes arrêtées (dont 53 encore en détention) et au moins 350 civils blessés sont les principaux chiffres issus des violences d`août 2017 à août 2018 selon le CACIT..

Voir la photo

Lancement par le CACIT du Rapport sur la situation des droits de l’Homme au Togo et les libertés fondamentales en lien avec la crise socio-politique
Lomé, le 18 septembre 2018. Agora Senghor, Salle Laurier. Conférence de presse du Collectif des Associations Contre l’Impunité au Togo (CACIT). Une conférence de presse marquée par le lancement du Rapport sur la situation des droits de l’Homme au Togo et les libertés fondamentales en lien avec la crise socio-politique togolaise (août 2017- août 2018). 19 morts, 560 personnes arrêtées (dont 53 encore en détention) et au moins 350 civils blessés sont les principaux chiffres issus des violences d`août 2017 à août 2018 selon le CACIT..

Voir la photo

Lancement par le CACIT du Rapport sur la situation des droits de l’Homme au Togo et les libertés fondamentales en lien avec la crise socio-politique
Lomé, le 18 septembre 2018. Agora Senghor, Salle Laurier. Conférence de presse du Collectif des Associations Contre l’Impunité au Togo (CACIT). Une conférence de presse marquée par le lancement du Rapport sur la situation des droits de l’Homme au Togo et les libertés fondamentales en lien avec la crise socio-politique togolaise (août 2017- août 2018). 19 morts, 560 personnes arrêtées (dont 53 encore en détention) et au moins 350 civils blessés sont les principaux chiffres issus des violences d`août 2017 à août 2018 selon le CACIT..

Voir la photo

Lancement par le CACIT du Rapport sur la situation des droits de l’Homme au Togo et les libertés fondamentales en lien avec la crise socio-politique
Lomé, le 18 septembre 2018. Agora Senghor, Salle Laurier. Conférence de presse du Collectif des Associations Contre l’Impunité au Togo (CACIT). Une conférence de presse marquée par le lancement du Rapport sur la situation des droits de l’Homme au Togo et les libertés fondamentales en lien avec la crise socio-politique togolaise (août 2017- août 2018). 19 morts, 560 personnes arrêtées (dont 53 encore en détention) et au moins 350 civils blessés sont les principaux chiffres issus des violences d`août 2017 à août 2018 selon le CACIT..

Voir la photo

Emmanuel Macron fait un selfie samedi 18 septembre 2018 à l`Elysée/©POOL/AFP/
.

Voir la photo

Conférence de presse de témoignage et de rappel autour du 05 octobre 1990 de Tino Agbelenko Doglo de la CDPA
Lomé, le 12 septembre 2018. Brother Home. Conférence de presse de témoignage et de rappel autour du 05 octobre 1990 de Tino Agbelenko Doglo de la CDPA. Inconnu du grand public en 1990, Tino fut l’un des 2 Togolais dont le procès pour "outrage au chef de l’Etat et appel à la révolte de l’armée" a déclenché les mouvements contestataires du 5 octobre 1990. Une date considérée comme le début du processus de démocratisation au Togo. Tino Agbelenko Doglo.

Voir la photo

Conférence de presse de témoignage et de rappel autour du 05 octobre 1990 de Tino Agbelenko Doglo de la CDPA
Lomé, le 12 septembre 2018. Brother Home. Conférence de presse de témoignage et de rappel autour du 05 octobre 1990 de Tino Agbelenko Doglo de la CDPA. Inconnu du grand public en 1990, Tino fut l’un des 2 Togolais dont le procès pour "outrage au chef de l’Etat et appel à la révolte de l’armée" a déclenché les mouvements contestataires du 5 octobre 1990. Une date considérée comme le début du processus de démocratisation au Togo..

Voir la photo

Conférence de presse de témoignage et de rappel autour du 05 octobre 1990 de Tino Agbelenko Doglo de la CDPA
Lomé, le 12 septembre 2018. Brother Home. Conférence de presse de témoignage et de rappel autour du 05 octobre 1990 de Tino Agbelenko Doglo de la CDPA. Inconnu du grand public en 1990, Tino fut l’un des 2 Togolais dont le procès pour "outrage au chef de l’Etat et appel à la révolte de l’armée" a déclenché les mouvements contestataires du 5 octobre 1990. Une date considérée comme le début du processus de démocratisation au Togo..

Voir la photo

Conférence de presse de témoignage et de rappel autour du 05 octobre 1990 de Tino Agbelenko Doglo de la CDPA
Lomé, le 12 septembre 2018. Brother Home. Conférence de presse de témoignage et de rappel autour du 05 octobre 1990 de Tino Agbelenko Doglo de la CDPA. Inconnu du grand public en 1990, Tino fut l’un des 2 Togolais dont le procès pour "outrage au chef de l’Etat et appel à la révolte de l’armée" a déclenché les mouvements contestataires du 5 octobre 1990. Une date considérée comme le début du processus de démocratisation au Togo..

Voir la photo

Conférence de presse de témoignage et de rappel autour du 05 octobre 1990 de Tino Agbelenko Doglo de la CDPA
Lomé, le 12 septembre 2018. Brother Home. Conférence de presse de témoignage et de rappel autour du 05 octobre 1990 de Tino Agbelenko Doglo de la CDPA. Inconnu du grand public en 1990, Tino fut l’un des 2 Togolais dont le procès pour "outrage au chef de l’Etat et appel à la révolte de l’armée" a déclenché les mouvements contestataires du 5 octobre 1990. Une date considérée comme le début du processus de démocratisation au Togo..

Voir la photo

Conférence de presse de témoignage et de rappel autour du 05 octobre 1990 de Tino Agbelenko Doglo de la CDPA
Lomé, le 12 septembre 2018. Brother Home. Conférence de presse de témoignage et de rappel autour du 05 octobre 1990 de Tino Agbelenko Doglo de la CDPA. Inconnu du grand public en 1990, Tino fut l’un des 2 Togolais dont le procès pour "outrage au chef de l’Etat et appel à la révolte de l’armée" a déclenché les mouvements contestataires du 5 octobre 1990. Une date considérée comme le début du processus de démocratisation au Togo..

Voir la photo

Conférence de presse de témoignage et de rappel autour du 05 octobre 1990 de Tino Agbelenko Doglo de la CDPA
Lomé, le 12 septembre 2018. Brother Home. Conférence de presse de témoignage et de rappel autour du 05 octobre 1990 de Tino Agbelenko Doglo de la CDPA. Inconnu du grand public en 1990, Tino fut l’un des 2 Togolais dont le procès pour "outrage au chef de l’Etat et appel à la révolte de l’armée" a déclenché les mouvements contestataires du 5 octobre 1990. Une date considérée comme le début du processus de démocratisation au Togo..

Voir la photo