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L’OMS intensifie ses efforts pour enrayer les épidémies d’Ebola en Guinée et en République démocratique du Congo

Autre presse -  18/2/2021 -  Alors que les efforts s’intensifient pour lutter rapidement contre les nouvelles épidémies d’Ebola en Guinée et en République démocratique du Congo (RDC), l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) déploie des équipes d’experts pour appuyer les autorités nationales dans leurs efforts visant à accélérer la riposte et à éviter des infections à grande échelle. Les autorités sanitaires guinéennes ont déclaré une épidémie d’Ebola le 14 février après que trois cas détectés à Gouécké, une communauté rurale de la préfecture de N’Zérékoré, ont été testés positifs au virus. Il s’agit de la première épidémie d’Ebola en Guinée depuis 2016, date à laquelle une vaste épidémie avait été maîtrisée avec succès. Plus de 100 membres du personnel de l’OMS, déployés à partir d’autres pays et de la Guinée, devraient participer à la lutte contre le virus Ebola d’ici la fin février. Une équipe de huit experts du Bureau régional de l’OMS pour l’Afrique à Brazzaville se rendra bientôt sur place. Des efforts sont en cours pour renforcer la surveillance, la recherche des contacts, les tests et les traitements ainsi que pour préparer la vaccination. « Nous sommes à pied d’œuvre et nous passons rapidement à la vitesse supérieure pour devancer le virus. Avec les experts et les fournitures d’urgence déjà sur le terrain, la riposte est en bonne voie », a déclaré Dr Matshidiso Moeti, directrice régionale de l’OMS pour l’Afrique. « Notre action collective et rapide est cruciale pour éviter la propagation incontrôlée du virus Ebola dans le contexte de la pandémie de COVID-19, qui a déjà mis les travailleurs et les structures de santé à rude épreuve. » Un vol humanitaire est arrivé le 15 février à N’Zérékoré avec 700 kilos de matériel médical offerts par l’OMS et ses partenaires. Un lot de plus de 11 000 doses du vaccin contre Ebola devrait arriver en Guinée ce week-end. De plus, plus de 8 500 doses seront expédiées des États-Unis pour un total de 20 000 doses. La vaccination devrait commencer peu après. Une équipe de vaccination de 30 personnes a déjà été mobilisée sur place et est prête à se déployer dès la réception des vaccins. Dans le même temps, en RDC, quatre cas d’Ebola ont été confirmés jusqu’à présent, dont deux décès présentant un lien épidémiologique. L’OMS dispose d’une vingtaine d’experts sur le terrain, qui soutiennent les autorités sanitaires nationales et provinciales. 8000 doses de vaccins étaient encore disponibles dans le pays à la fin de la 11ème épidémie d’Ebola. La vaccination des personnes à haut risque a été officiellement lancée à Butembo, l’épicentre de l’épidémie, le 15 février. À ce jour, près de 70 personnes ont été vaccinées. Le déploiement rapide des vaccins témoigne de l’énorme capacité locale mise en place par l’OMS et ses partenaires lors des précédentes épidémies. L’OMS a débloqué 1,25 million de dollars US pour soutenir la réponse en Guinée et pour renforcer la préparation à la lutte contre la maladie à virus Ebola dans les pays voisins : en Côte d’Ivoire, en Guinée-Bissau, au Liberia, au Mali, au Sénégal et en Sierra Leone. En outre, le Fonds central d’intervention des Nations Unies pour les urgences humanitaires a débloqué 15 millions de dollars US pour soutenir la réponse en Guinée et en République démocratique du Congo ainsi que la préparation dans les pays voisins. L’épicentre de l’épidémie d’Ebola en Guinée étant une zone frontalière, les pays de la sous-région sont en état d’alerte élevé et renforcent les mesures de santé publique et la surveillance dans les villes et communautés frontalières afin de détecter rapidement les éventuelles infections transfrontalières et d’y répondre. La réponse en cours en Guinée et la préparation des pays voisins s’appuient sur l’expérience acquise lors de l’épidémie d’Ebola de 2014-2016 en Afrique de l’Ouest. L’OMS et ses partenaires avaient collaboré avec les équipes nationales pour renforcer les capacités dans tous les domaines essentiels de la surveillance et de la riposte. L’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest avait commencé en Guinée et s’était propagée au-delà des frontières terrestres vers le Liberia et la Sierra Leone. Lorsqu’elle a finalement été maîtrisée, 28 000 cas et 11 000 décès avaient été enregistrés, ce qui en fait l’épidémie la plus meurtrière depuis que le virus a été détecté pour la première fois en 1976. La maladie à virus Ebola est une maladie virale grave et aiguë, extrêmement mortelle. Elle se caractérise par l’apparition soudaine de fièvre, une faiblesse intense, des douleurs musculaires, des maux de tête, des nausées et des maux de gorge. Elle peut être suivie de vomissements, de diarrhées, d’une altération des fonctions rénales et hépatiques et, dans certains cas, d’hémorragies internes et externes. Dr Moeti s’est exprimée aujourd’hui lors d’une conférence de presse virtuelle facilitée par APO Group. Elle a été rejointe par Dr Mohamed Lamine Yansané, Conseiller principal du ministre de la Santé et de l’Hygiène publique de Guinée, et Ngonda Saasa, chef du Département de contrôle des maladies à l’École de médecine vétérinaire et chef du laboratoire de virologie UNZAVET de Zambie. Étaient également présents pour répondre aux questions Dr Abdou Salam Gueye, responsable de la Préparation aux situations d’urgence au Bureau régional de l’OMS pour l’Afrique, Dr Richard Mihigo, coordinateur du Programme de vaccination et de développement de vaccins au Bureau régional de l’OMS pour l’Afrique, Dr Georges Ki-Zerbo, Représentant de l’OMS en Guinée, Dr Mory Keita, Responsable technique au Bureau régional de l’OMS pour l’Afrique et Dr Nicksy Gumede-Moeletsi, virologue au Bureau régional de l’OMS pour l’Afrique.

Malgré la réouverture des frontières extérieures ce 1er Juillet 2020: L’espace Schengen reste fermé à tout détenteur de passeport togolais

Le Télégramme du Togo -  1/7/2020 -  Dans quelques heures (précisément, à partir de ce 1er Juillet), les frontières extérieures des pays de l’Union européenne (UE) seront rouvertes mais ceci avec des restrictions. C’est une ouverture qui est seulement faite à 14 pays du monde ou leurs ressortissants. Et sur cette liste des 14 pays éligibles à cette réouverture, proposée par les ambassadeurs des pays de l’UE, qui répondent à certains critères dont le faible taux de contamination à la Covid-19, le Togo n’y figure pas. Si « la liste inclut également la Chine, sous condition de réciprocité, c’est-à-dire à condition qu’elle accueille sur son sol les voyageurs venant de l’UE. Sont aussi admis les voyageurs d’Andorre, Monaco, du Vatican et Saint-Marin », on y retrouve sur cette liste des 14 Etats autorisés, le Maroc, l’Algérie (et pour ces deux premiers, il y a à dire puisqu’ils ont un taux de contamination encore plus élevé que le Togo), l’Australie, le Canada, la Géorgie, le Japon, le Monténégro, la Nouvelle-Zélande, le Rwanda, la Serbie, la Corée du Sud, la Thaïlande, la Tunisie et l’Uruguay.

Ebola: le FMI sous pression pour alléger la dette des pays africains

Jeune Afrique -  31/12/2014 -  Le FMI se retrouve pressé de toutes parts d’alléger la dette des trois pays africains les plus touchés par Ebola, à l’heure où sa responsabilité dans la propagation rapide de l’épidémie est pointée du doigt. Les appels à la clémence budgétaire ne se limitent pas aux ONG de lutte contre la pauvreté: une commission de l’ONU a estimé à la mi-décembre qu’une "annulation" de la dette de la Guinée, de la Sierra Leone et du Liberia devait être "sérieusement envisagée" pour leur donner un peu d’air. Surtout, les Etats-Unis sont eux-mêmes montés au créneau en exhortant le Fonds monétaire international à effacer près d’un cinquième de la dette que ces trois pays, tous sous perfusion financière du FMI, doivent à l’institution (plus de 480 millions de dollars au total). Une telle mesure permettrait de "libérer des ressources" pour faire redémarrer l’activité dans la région, où l’épidémie a fait plus de 7. 800 morts, avait expliqué début novembre le secrétaire américain au Trésor, Jacob Lew, dont le pays est le premier actionnaire du FMI. Réunis en Australie à la mi-novembre, les chefs d’Etat des pays du G20 ont encore accentué la pression en affirmant que la nouvelle enveloppe budgétaire de 300 millions de dollars promise par le Fonds contre Ebola devrait notamment prendre la forme d’un "allègement de dette".

Un professeur du lycée d’Adidogomé et son complice interpellés dans leur tentative de transfèrement des crânes humains vers l’Europe

Le Télégramme du Togo -  5/8/2014 -  Togo - Visiblement le trafic d’organes humains fait encore parler de lui au Togo. Après l’ancien responsable de l’ASECNA arrêté il y a plusieurs semaines pour avoir utilisé des crânes humains pour ses fétiches, c’est au tour d’un professeur de lycée et de son complice de se faire interpeler. Selon certaines sources, vendredi dernier (1er août 2014), le détachement de la gendarmerie nationale togolaise à l’aéroport international Gnassingbé Eyadéma de Lomé a mis la main sur deux individus qui tenteraient de convoyer vers l’Europe, plus précisément la France, trois crânes humains. Nos sources indiquent qu’ils ont emballé les crânes mais très rapidement, le scanner du service des frets décèlera des ressemblances de crânes humains dans les colis que tentaient d’envoyer vers la France le sieur Tchalim Tchadja (45 ans), professeur au Lycée technique d’Adidogomé, né à Samda Kagbanda et demeurant à Agoè Vakpossito et Médaho Logossou (36 ans), qui se présente comme Chef de culte, né à Komé dans le Bénin et domicilié à Ablogamé. D’après la narration faite de la scène, ils auraient dans un premier temps prétexté que ce sont des gris-gris (fétiches) qu’ils sont en train d’envoyer vers l’Europe et donc, ils ne sont pas à même de déballer le colis. Mais intransigeants, les agents de la gendarmerie de l’aéroport les contraindront à ouvrir leur emballage. C’est donc là où on fera la découverte macabre. Il a été confié que les enquêtes seront diligentées pour découvrir le ou les destinataires de ces colis. Et que celui ou ceux-ci devront également être interpellés et mis à la disposition de la justice togolaise pour répondre de leur acte, tout comme ce sera le cas pour les deux personnes interpellés à Lomé. G.K / F.S

TOGO: Mensonges au sommet de l’Etat ; le Togo, premier cobaye du Groupe Bolloré dans le stockage d’énergie solaire dans le monde

Autre presse -  9/5/2014 -  Les investissements dans la réfection des routes demeurent colossaux sous n’importe quel ciel. Le chemin de fer devient alors une alternative pour « soulager » la charge imposée à la route par les gros porteurs. Contrairement à ce qui est claironné depuis quelque temps, le Togo ne fait pas partie des pays devant bénéficier de la boucle ferroviaire ouest-africaine. D’autre part, le pays se propose d’être le premier cobaye de par le monde en matière de stockage d’énergie solaire développé par le Groupe Bolloré. Mais qui payera l’addition en cas de fiasco, comme ce fut le cas avec Contour Global si ce n’est le contribuable togolais? Lors du lancement de la boucle ferroviaire à Niamey, Faure Gnassingbé s’est arrangé pour figurer parmi les invités. A Cotonou, idem, du moins à en croire la partie gouvernementale. Mais chose curieuse, aucun des deux présidents, nigérien et béninois n’a daigné lui rendre la politesse en répondant présent le 26 avril dernier pour « inaugurer à la gare de Lomé la première rame du train qui assurera la boucle ferroviaire Lomé-Cotonou-Niamey-Ouagadougou-Abidjan. Un projet ambitieux destiné à faciliter l’intégration régionale », selon les propres termes du site gouvernemental republicoftogo.com. Il est vrai que le 16 octobre 2013, une réunion s’est tenue à Abidjan ayant regroupé les chefs d’Etat ivoirien, burkinabé, nigérien, béninois et togolais et l’Agence Ecofin a repris un communiqué de la présidence ivoirienne le 22 octobre qui disait : « Le président Alassane Ouattara a révélé avoir rencontré avec ses pairs du Conseil de l’Entente les deux grands opérateurs, en l’occurrence, le groupe Bolloré et Frank Timis, qui se proposent de travailler sur la réhabilitation et l’extension du chemin de fer qui ira d’Abidjan (Côte d’Ivoire) à Lomé (Togo) en passant par Ouagadougou, Dori et Tambao (Burkina Faso), Niamey (Niger), Parakou et Cotonou (Bénin). Le Chef de l’Etat a indiqué que ses homologues et lui, ont demandé aux deux groupes de s’associer pour la réalisation de ce projet de boucle ferroviaire ». Blaise Compaoré avait évoqué l’intégration économique des Etats pour justifier le projet : « Nous sommes très attachés à l’UEMOA et à la CEDEAO. Notre ambition, c’est de toujours pousser en avant le progrès de nos Etats, de nos populations. Il se trouve que dans cette démarche, il est essentiel, de nos jours, de fluidifier les échanges, les trafics, les mouvements des hommes et des marchandises. Et nous avons, comme projet prioritaire en cette période de notre histoire, la construction de la boucle ferroviaire », déclarait-il. Qui dit intégration économique, dit possibilité de commercer entre les Etats. La distance Lomé-Cinkassé fait 659 km et Lomé-Sanvee-Condji fait 53 km. Si le Togo aussi est pris en compte dans le projet de boucle ferroviaire, pourquoi ne lui avoir concédé que 53 km sur une distance totale approximative de 2.500 km de voies, quand on sait qu’il a peu à commercer avec le Bénin qui dispose également de port? En plus, lorsqu’on parle de boucle, le projet de chemin de fer ne devrait-il pas continuer de Lomé à Cinkassé afin qu’une partie de la boucle soit bouclée ? Il y a des non-dits qu’il urge de découvrir absolument. Le 15 novembre 2013, sur le site web du Groupe Bolloré, http://www.bollore-africa-logistics.com, on lit : « Le président de la République du Niger, Mahamadou Issoufou et son homologue du Bénin, Thomas Boni Yayi ont procédé le 7 novembre 2013 à Cotonou, au Bénin, à la signature d’un mémorandum d’entente pour la réalisation de la liaison ferroviaire Cotonou-Niamey. Les deux chefs d’Etats ont décidé de retenir comme partenaire stratégique le groupe Bolloré. A ce titre, le groupe Bolloré se chargera de mobiliser les ressources nécessaires à la réalisation des travaux de construction et de réhabilitation qui démarreront en mars 2014. La liaison Cotonou-Parakou-Niamey entre dans le cadre du grand projet d’intégration régionale de la boucle ferroviaire ouest africaine. Il vise à connecter les villes d’Abidjan (Côte d’Ivoire), de Ouagadougou (Burkina Faso), de Niamey (Niger) et de Cotonou (Bénin) grâce à 2.500 km de chemin de fer et ainsi participer au développement économique de toute la région ». Plus loin, il est indiqué que sur les 1.000 km de voies issues de la réhabilitation, de la construction et de l’exploitation, les deux Etats auront chacun 10 % de part dans le capital de la société, 20 % reviendront au secteur privé béninois, 20 % au secteur privé nigérien et 40 % au Groupe Bolloré en tant que partenaire stratégique. Autrement, même le Groupe Bolloré savait que le Togo ne faisait pas partie de cette fameuse boucle ferroviaire ouest-africaine. A quoi serviront alors les quais et l’agrandissement du port ? Et combien de temps dureront les routes refaites si tout doit emprunter la voie terrestre ? Dans le cas où les marchandises devraient transiter par Cotonou, le manque à gagner serait énorme pour l’économie togolaise. Une autre preuve que le Togo n’est pas pris en compte est la parution du 24 avril 2014 du site lesechos.fr. « …Le projet de Boucle Ferroviaire, initié par le Niger en novembre 2011, vise en effet la mise en place d’une voie ferrée continue sur le parcours Cotonou-Niamey-Ouagadougou-Abidjan. Traversant quatre pays, long de plus d’environ 3 000 km, ce projet se caractérise surtout par deux ambitions hors du commun… ». Mais comme pour bleuir les citoyens, les autorités togolaises sortent une autre trouvaille, Blue zone de la société Blue Line. Bien que les gares du Togo n’existent plus que de nom, les autorités estiment qu’avec cette trouvaille, « chaque gare et de nombreux villages disposeront d’une Blue zone, un système de stockage d’énergie révolutionnaire développé par le Groupe français ». Et dans un entretien avec Vincent Bolloré, le site gouvernemental rapporte que le Togo est le 1er pays au plan mondial à disposer de cette technologie. Autrement dit, le pays servira de cobaye pour tester la batterie lithium métal polymère du groupe Bolloré. Aného, Tsévié et d’autres villes du pays en seront bientôt pourvues, bien que les voies ferrées n’y soient pas encore installées. Mais aucune garantie n’est offerte par Vincent Bolloré quant au succès de ce projet. « Quand on croit à quelque chose, on le fait. Si ça marche, c’est une révolution ; et si ça ne fonctionne pas, on aura au moins essayé », a-t-il répondu à la question de sa foi en sa technologie. Les Togolais ont encore en mémoire le scandale financier engendré par l’installation de Contour Global censé palier les problèmes de délestage. Aujourd’hui, c’est le contribuable togolais qui a endossé la douloureuse facture énergétique. Les autorités se sont-elles assurées que l’échec éventuel du projet Blue zone ne les engagerait pas ? Le doute est permis lorsqu’on réalise que les sommes colossales investies dans la construction du 3è quai il y a peu de temps, sont l’œuvre du même Groupe Bolloré. Ce 3è quai risque de placer le Togo en position de cobaye devant subir les desiderata de Vincent Bolloré, car on voit mal les autorités tenir la dragée haute à ce groupe qui « fait déjà tant » pour le pays. Abbé Faria LIBERTE HEBDO

Togo : Wazo Kossi Denké a tiré sa révérence

Autre presse -  24/3/2014 -  L’ancien international togolais Wazo Kossi Denké est décédé en France des suites d’une maladie à l’âge de 55 ans, a-t-on appris auprès de la Fédération togolaise.

Un Togolais arrêté en Espagne

Autre presse -  19/3/2014 -  La police espagnole a arrêté mardi un ressortissant togolais lors d’un raid mené contre des trafiquants de drogue à Madrid, Barcelone et Murcia. Au total, 42 personnes sont sous les verrous dont des Philippins, des Espagnols, des Maliens et des Sénégalais. Huit kilos de Methamphetamine, une drogue de synthèse psycho-stimulante, ont été saisis.

TOGO : Quatre morts dont un commandant de brigade dans un accrochage entre gendarmerie et trafiquants

Xinhua -  18/3/2014 -  LOME - Un accrochage entre une patrouille de routine de la gendarmerie de Bassar, nord-ouest du Togo vers la frontière avec le Ghana, et des trafiquants d'essence a fait quatre morts dont le commandant de la brigade samedi dernier, a- ton appris lundi de source officielle. Selon un communiqué du ministère togolais de la Sécurité, "les trafiquants ont ouvert le feu sur les gendarmes aux moyens de fusils d'assaut automatiques", alors que la patrouille leur a intimé l'ordre de s'arrêter. La riposte des gendarmes et les échanges de coups de feu qui s' en sont suivi ont occasionné sur les lieux quatre morts par balles, le commandant de la brigade et trois trafiquants. Suite au ratissage mené par les forces de défense et de sécurité, trois autres membres du réseau ont été interpellés et trois véhicules saisis. Ces réseaux de trafiquant de carburant alimentent le commerce illicite d'hydrocarbures, parfois frelatés, très rentable qui a gagné du terrain durant des années, en raison du prix du litre jugé moins cher par les consommateurs. Face à l'ampleur de ce commerce informel qui concurrence les stations-service et qui constitue un manque à gagner pour le Togo, le gouvernement togolais a décidé son interdiction et a mis en place, en conséquence, un dispositif de répression. Ces trois dernières années, ce commerce a baissé d'intensité suite à la traque qu'opèrent les forces de sécurité et de l'ordre, dans le cadre d'une opération dénommée "entonnoir". Cette opération est couronnée de la saisie d'importantes cargaisons sur terre et dans des embarcations sur mer, en provenance des pays pétroliers de la côte ouest-africaine. XINHUA

Concours de recrutement dans la Police nationale : Une quarantaine de personnes n’ayant pas composé, se retrouvent sur la liste définitive des admis

Autre presse -  11/3/2014 -  Togo - Lorsque les tripatouillages atteignent des secteurs censés incarner des valeurs morales, c’est tout le système de recrutement au Togo qui est remis en cause. Nous avions annoncé les signes précurseurs d’une magouille qui se préparerait en rapport avec le dernier concours de la Police nationale. Aujourd’hui, les faits nous donnent raison. La vérification de la liste des admis au concours de la Police nationale pour le recrutement de Commissaires, Officiers de Police et Gardiens de la Paix, a révélé qu’au moins 45 noms d’admis ne figurant pas dans la liste des admissibles publiée par le quotidien national le 15 novembre 2013 sont déclarés admis comme par enchantement. Les 9 et 10 septembre 2013, ils étaient plus de 8.000 candidats à concourir pour des postes de Commissaires, Officiers de Police et Gardiens de la Paix dans deux centres que sont Lomé et Kara. Et le 15 novembre de la même année, les résultats des candidats admissibles à passer la visite médicale pour juger de leur aptitude à exercer la fonction étaient tombés. Au total, 2588 candidats étaient retenus et devraient passer cette visite quatre jours plus tard, soit le 19 novembre. Dans la parution N°1609 du 7 janvier 2014, LIBERTE avait tiré la sonnette d’alarme sur le retard anormal que prenait la publication des résultats définitifs de ce concours conjointement organisé par le ministère de la Fonction Publique dirigé par Gourdigou Kolani et celui de la Sécurité et de la Protection Civile ayant à sa tête le Col Yark Daméhame. Dans ce numéro, nous nous étonnions que près de cinquante jours après la visite médicale, les résultats ne soient toujours pas proclamés. Nous avions même contacté le ministre Yark Daméhame qui, en ce temps, avait répondu que « le retard est dû à l’indisponibilité actuelle du Centre national d’Instruction qui serait occupé par des recrues militaires en formation. Or, les capacités de ce centre ne dépassent pas 1500 places, raison pour laquelle les résultats sont retardés puisqu’après la proclamation, les candidats admis devront intégrer les locaux de formation ». Or, nous avions des informations selon lesquelles une ministre très proche du chef de l’Etat chercherait à « placer ses pions » alors que ceux-ci n’auraient même pas déposé de dossiers. Les informations font état de ce que ceux-ci n’auraient pas passé les tests ni subi les analyses, leur âge ayant dépassé la norme requise. La proclamation des résultats définitifs vient confirmer aujourd’hui nos appréhensions d’hier. En effet, dans le N° 9238 du quotidien national en date du 5 mars 2014, un communiqué conjoint des deux ministres a acté la réussite de 1038 candidats à l’issue de la visite médicale : 125 Commissaires, 160 Officiers de Police et 753 Gardiens de la Paix. Rappelons que la veille de la publication, nous nous sommes rendus au ministère de la Sécurité où le chargé de la communication nous a juré que la liste des admis n’a fait que transiter à leur niveau et qu’elle se trouve à la Fonction Publique. Nous étions retournés au ministère de la Fonction Publique où on nous a expliqué que dans ces genres de concours conjointement organisés, ils n’ont qu’un droit de regard et que dans le cas d’espèce, c’est le ministère de la Sécurité qui détient les résultats. Nous avons finalement compris que seuls les médias publics avaient le droit absolu de publier ces résultats et que les privés n’étaient pas les bienvenus. Mais ce constat était loin de tiédir notre ardeur à « voir clair » dans la liste des admis. C’est ainsi qu’une fois la liste publiée par le quotidien national, nous nous sommes livrés à un travail de fourmi qui consiste à comparer chaque nom de candidat définitivement admis publié dans la parution N°9238 avec la liste des candidats admissibles du N° 9162 du 15 novembre 2013 du quotidien national « Togo-Presse ». Point besoin de vous dire que le travail fut fastidieux, mais au bout du compte, nous avons compris que le jeu valait la chandelle. Au total, ce sont au moins 2 commissaires, 8 Officiers de Police et 35 Gardiens de la Paix dont les noms ne figurent pas dans la liste des admissibles qui sont déclarés admis. Autrement dit, ils n’étaient pas déclarés admissibles, mais par une alchimie métaphysico-spirituelle, ils se retrouvent dans les admis définitifs. Les deux ministres voudront-ils peut-être expliquer que comme lors des examens, il y aurait eu une session des malades dont les admissibles ne seraient pas connus du quotidien national et qui se seraient ajoutés à la liste définitive bien après ? Les informations faisant état de partialité, de favoritisme, de népotisme dans les concours de recrutement dans la fonction publique, ne datent pas d’hier. Il fallait justifier toute sortie médiatique qui mettrait en cause quelque ministère que ce soit. Nous nous sommes employés à exploiter exclusivement les résultats que les deux ministres ont conjointement signés et remis au quotidien national pour publication. Et l’intelligence n’étant pas l’apanage d’un seul homme ou groupe d’hommes, nous avons jugé utile de comparer ce qu’ils avaient signé le 15 novembre 2013 et le communiqué du 5 mars. De là à se demander si les responsables qui ont géré ce concours n’ont pas fait preuve de partialité vis-à-vis d’une frange des candidats, la réponse se trouve dans l’interrogation. Aujourd’hui, c’est au sein de la Police nationale que la magouille s’est sue. Et pourtant, les concours d’entrée dans la Fonction Publique et autres écoles de formation telles l’ENA, l’ENAM, l’ENI, l’ENS, l’ENSF, l’INFA sont légion. Comment les citoyens doivent-ils s’y prendre pour démasquer ce qu’il est convenu d’appeler une « bassesse intellectuelle » lors des différents concours sur l’étendue du territoire ? Retenons simplement que « le poisson pourrit toujours par la tête ». Affaire à suivre. Abbé Faria

Une partie du mur de la prison civile de Lomé s’écroule sans faire de victime

AfreePress -  3/3/2014 -  Togo - Le mur côté ouest de la prison civile de Lomé s’est effondré samedi, a appris l’Agence Afreepress d’une source proche de l’Administration pénitentiaire. « Nous avons entendu un grand bruit qui a fait sursauter tout le monde. On pensait à une explosion de bombe au regard de la grosse poussière qui s'est élevée du côté ouest de la prison civile de Lomé », indique cette personne. Selon des informations bien précises recueillies par Afreepress, le mur dont il est question s'est écroulé sur plus de 100 mètres sans pour autant causé de victime. « Les agents de Sécurité de l'Administration Pénitentiaire restent souvent sous ce mur. Des fois, ce sont les avocats en visite qui y vont recevoir leurs clients dans une salle sous cette partie de la clôture depuis que la salle d'avocat a été transformée en salle pour le prisonnier VIP (Kpatcha Gnassingbé) », rapporte un autre témoin. D’après les indiscrétions obtenues dans les rangs du corps des gardiens de prison, le côté ouest de la clôture de la prison civile de Lomé était « très penché ». « Voilà une négligence qui aurait pu causer la mort de plusieurs détenus, des avocats et même des agents de la sécurité », dénoncent les détenus qui disent craindre pour le reste de l’édifice. Olivier A.

Près de 2 tonnes d’ivoire cachées dans un conteneur

Autre presse -  28/1/2014 -  1,7 tonne d’ivoire a été saisie le 23 janvier dernier dans un conteneur en partance pour le Vietnam. Trois individus - 2 Togolais et un Vietnamien - ont été appréhendés par les agents de l’office central de répression de trafic illicite de drogue et de blanchiment (OCRTIDB) Des hommes de l’Unité mixte de contrôle du port de Lomé ont été intrigués que le conteneur ne fasse pas l’objet d’une inspection au scanner. Une fouille manuelle a alors permis de découvrir la marchandise dissimulée dans une cargaison de tech. L’information a été révélée mardi par l’OCRTIDB.

Saisie de sept cents (700) grammes de Cocaïne à l’Aéroport International Gnassingbé Eyadema

Autre presse -  30/12/2013 -  Togo - Saisie de sept cents (700) grammes de cocaïne par Cellule Aéroportuaire Anti-Trafics (CAAT), une des antennes de l’Office Central de Répression du Trafic Illicite des Drogues et du Blanchiment (OCRTIDB) basée à l’Aéroport International Gnassingbé Eyadema de Lomé auprès du nommé PEDRO MIGUEL JOÂO le 29 décembre 2013. En effet, le nommé PEDRO MIGUEL JOÂO, de nationalité angolaise arrive à Lomé (Togo) le 29 décembre 2013 par le vol Ethiopian Airlines en provenance de Sao-Paulo (Brésil) en transit pour le Gabon et à destination de l’Angola. Les éléments de Cellule Aéroportuaire Anti-Trafics (CAAT), en service à l’Aéroport International Gnassingbé Eyadema par les techniques de ciblage ont réussi à mettre la main sur le nommé PEDRO MIGUEL JOÂO qui a ingurgité cinquante huit capsules soit un poids total de sept cents grammes de cocaïne qu’il tentait de faire passer en Angola. Conduit à l’office le susnommé a déféqué cinquante huit capsules soit un poids total de sept cents (700) grammes de cocaïne soigneusement en robés dans du chatterton de couleur blanche portant des marques de couleur verte (46 capsules) et rouge (12 capsules). Les investigations se poursuivent pour démanteler le reste du réseau.

Saisie de 150kg de cannabis

Autre presse -  4/12/2013 -  Plus de 100kg de cannabis ont été saisis à Agomé-Séva dans la préfecture de Bas-Mono (80km de Lomé). Les deux ressortissants béninois interpellés par les limiers de l’Office central de répression du trafic illicite de drogue et du blanchiment (OCTRIDB) devaient livrer leur précieuse marchandise à un client à Lomé. Par ailleurs, 47,6kg de cannabis ont été récupérés, dans le cadre d’une autre affaire, à Kodjoviakopé, un quartier de la capitale togolaise.

Arrestation de trafiquants d’objets en ivoire

Autre presse -  20/11/2013 -  Togo - L’Office Centrale de Répression du Trafic Illicite des Drogue et du Blanchiment, a interpellé le 14 novembre 2013 à la frontière Togo-Ghana, le nommé Diogo Anani Babatoundé, un togolais, en possession d’un sac contenant 3kg d’objets en ivoire. Il a été présenté le mardi 19 novembre 2013 à la presse à Lomé. Les investigations ont permis l’arrestation de trois autres personnes qui avaient avec elles 11kg d’ivoire. Ces individus opèrent en réseau. Les autres membres du réseau sont recherchés et seront soumis à la rigueur de la loi. Un malfrat du nom AKAKPO Hanvi reconnait les faits.

Affairisme et corruption autour de l’organisation de l’examen des agents de joueurs FIFA : Des licences attribuées aux candidats fantômes, un scandale de trop qui éclabousse le bureau de Gabriel Améy

Autre presse -  5/11/2013 -  Togo - Comme cela ne finit pratiquement plus, la Fédération Togolaise de Football (FTF) est de nouveau ébranlée par le scandale d’examen d’agents de joueurs. En effet, dans une correspondance en date du 30 octobre 2013, la Secrétaire Générale de la FTF Yvette Klussey a transmis à la FIFA une liste de onze (11) personnes comme étant « la liste des candidats à l’examen des Agents de joueurs ayant réussi à la session de septembre 2013 ». Il s’agit de : Atake Akpélouzim (17/20), Klu Amédome Koffi (17/20), Olivier Gabriels (16/20), Godwin Emmanuel (16/20), Tchanilé Essowazina (15/20), Samake Jocelyn Ousmane (15/20), Mamah Aïchatou (14/20), Sondjalim Mohamadou (14/20), De Souza Hermann (14/20), Atsou Edem (14/20) et Djatouate Kantame (14/20). Les personnes susmentionnées sont déclarées admises à l’issue de l’examen qui s’est déroulé le 26 septembre 2013 au Stade de Kegué. Cette liste d’agents déclarés admis passerait inaperçue si certains candidats ayant effectivement passé le concours ne s’étonnent de la présence de certains noms comme Olivier Gabriels, Godwin Emmanuel, Samake Jocelyn Ousmane, Atsou Edem entre autres. Plusieurs sources bien renseignées indiquent que les quatre (4) personnes n’auraient pas passé l’examen. Plus grave, Olivier Gabriels et Godwin Emmanuel seraient des Nigérians et Samake Jocelyn Ousmane est Ivoirien. De ce fait, selon l’article 5 des règlements des agents de joueurs, ils ne sont pas habiletés à passer l’examen au Togo parce n’étant ni Togolais ni résidents au Togo. L’article 5 stipule que « Les licences d’agent de joueurs sont délivrées par l’association du pays dont le candidat est un ressortissant ; si le candidat a une double ou une multiple nationalité, la dernière nationalité obtenue prévaut. Si le candidat a résidé de manière permanente dans un autre pays pendant deux ans ou plus, seule l’association du pays de résidence, et non celle du pays dont il est ressortissant, est compétente pour délivrer sa licence». L’article 5 fait partie d’ailleurs de la déclaration sur l’honneur des candidats ayant passé l’examen du 26 septembre 2013. Bien plus, le fort taux de réussite à l’examen des agents de joueurs au Togo surtout cette année bouleverserait également les milieux de la FIFA au point qu’on évoque des éventualités de corruption et d’affairisme autour de ce dossier. Joint par la rédaction hier dimanche pour en savoir davantage sur l’organisation de cet examen, le Premier Vice-président de la FTF Hervé Piza déclare n’être au courant de rien. « C’est vous qui m’informez qu’il y a eu cette année un examen des agents de joueurs à la FTF. Je ne suis au courant de rien du tout. Depuis vendredi, certains m’appellent pour avoir la liste des admis, mais j’avoue que c’est toujours une surprise pour moi d’apprendre des choses pareilles », a-t-il affirmé. D’aucuns allèguent que certains membres de la FTF auraient pris jusqu’à deux millions de FCFA auprès de certains candidats déclarés admis mais absents lors de l’examen. Or, conformément au formulaire d’inscription à l’examen pour l’obtention de la licence Agent de joueur, session de septembre 2013, il est demandé à tout candidat une quittance de cent mille (100.000) FCFA payable à la FTF. Ce dossier est un scandale de trop qui accable le bureau de Gabriel Améyi qui continue de ternir l’image du football togolais plongé au quotidien dans un coma profond. Xavier NONO

Saisie de 1.3 kg de cocaine présenté ce matin à la presse

Autre presse -  9/10/2013 -  POINT DE PRESSE Mercredi 09 Octobre 2013 Saisie de (1,3) kilogramme de cocaïne à l’aéroport International Gnassingbé Eyadema de Lomé La cellule Aéroportuaire Anti-Trafics (CAAT), une des antennes de l’Office Central de Répression Trafic Illicite des Drogues et du blanchiment (OCRTIDB) basée à l’aéroport International Gnassingbé Eyadema de Lomé, a réussi lors de la fouille des passagers et de leurs bagages, à mettre la main sur le nommé ADENIRAN ADETOKUNBO TEMITOPE En effet, le 03 octobre 2013 à 14heures 30 min le surnommé de nationalité nigériane en provenance de Sao Paulo (Brésil) à destination de Lomé) bord du vol Ethiopian Airlines ET 507, avait dissimulé dans les chaussures qu’il portait un virgule trois (1.3) kilogramme de cocaïne. Selon le mis en cause, cette drogue saisie en sa possession lui a été remise par un certain VICTOR dont il ne donne aucun renseignement d’identité, résident à Sao Paulo (Brésil) pour son frère AMOUSSA Sémiou. Ce dernier devrait réceptionner ladite drogue à l’Aéroport International Gnassingbé Eyadema de Lomé. ADENIRAN ADETOKUNBO TEMITOPE ayant déjà été interpellé par l’équipe enquêteuse de l’Office, un autre rendez-vous fut donné à AMOUSSA Sémiou dans un Hôtel de la place. Ces investigations ont permis d’interpeller nommé AMOUSSA Sémiou, transporteur de nationalité Béninoise résidant à Porto Novo au Bénin. Celui-ci avait été contacté auparavant dans la matinée du 03 octobre 2013 par un membre du réseau depuis Sao Paulo (Brésil) qui lui aurait demandé de récupérer la drogue auprès du nommé ADENIRAN ADETOKUNBO TEMITOPE à l’Aéroport International Gnassingbé de Lomé pour le Nigéria. Les auteurs reconnaissent les faits qui leurs sont reprochés, ils répondront de leurs actes devant les juridictions Togolaises. L’enquête poursuit son cours pour démanteler le reste du réseau. Présenté par : l’Officier de police Adjoint au Chef Bureau des Opérations

Le coffre-fort de la mère de Faure Gnassingbé dévalisé : Plus d’un milliard FCFA emportés, les présumés coupables arrêtés et gardés à la DCPJ

Autre presse -  7/10/2013 -  L’affaire fait grands bruits et embarrasse au plus haut sommet du pays. Le coffre-fort de Mme Sabine Mensah, mère du chef de l’Etat Faure Gnassingbé serait dévalisé. En tout cas, c’est ce qui est reproché à certains citoyens arrêtés et gardés à la Direction Centrale de la Police Judiciaire (DCPJ) de Lomé depuis la semaine dernière. Il s’agit de Papy Wilson et Têtê Wilson d’origine togolaise et un certain Gildas d’origine congolaise. Ils ont été arrêtés et accusés d’être complices de Paul, enfant à l’oncle de Faure et Daouda, fils de la femme de l’oncle de Faure. Tous deux vivaient chez « Maman Sabine » et auraient dévalisé le coffre-fort de la mère de Faure Gnassingbé. Les pertes enregistrées sont évaluées à environ un (1) milliard FCFA. On parle des coupures de billets en euros, dollars, francs CFA et des objets de valeurs (colliers, bijoux, gommettes)... En dehors de Papy, Têtè et Gildas, le cousin de Faure, Paul serait également interpellé mais Daouda est toujours en fuite. Un parent de Papy très remonté, relate les faits : « Papy, Têtè et Gildas ont été arrêtés la semaine dernière et gardés à la DCPJ. Ils sont accusés d’être complices de Paulvi qui aurait dévalisé sa tante. Entre temps, Têtê et Gildas ont été relâchés mais Papy est toujours gardé. Ce que nous apprenons aussi est que Paulvi et Daouda ont passé certaines nuits chez Papy et c’est maintenant qu’on apprend que c’est quand ils ont fui la maison de leur tante Sabine qu’ils sont venus se faire hébergés chez Papy. Vous pensez que Papy qui vend les friperies a en possession des milliards FCFA avant d’être aussi miséreux ? Papy est un brodeur mais il ne trouve plus en tant que tel à faire et s’est converti en vendeur de friperies. Il faut qu’il soit relâché et que les vrais coupables soient recherchés », a-t-il déclaré très remonté contre la situation de leur fils. Dans ce pays où les gens mangent difficilement une fois par jour, si certains disposent des milliards dans leurs chambres, le chef de l’Etat Faure Gnassingbé a raison lorsqu’il déclare que c’est une minorité qui s’accapare les richesses du Togo. Kokou AGBEMEBIO

Un Guinéen interpelé avec 2,8 kg de cocaïne

Xinhua -  20/9/2013 -  Togo - Un Guinéen de 33 ans a été interpellé le 14 septembre en possession de 2,8 kg de cocaïne à l' Aéroport International Gnassingbé Eyadema de Lomé, a-t-on appris jeudi source officielle. Le présumé trafiquant, Dabo Lamine, est arrivé à Lomé à bord d' un vol de la compagnie Ethiopian Airlines en provenance de Sao Paulo au Brésil. Il a imbibé du coton les 2,8 kg de cocaïne en liquide qui a été séché et emballé dans du plastique avant d'être dissimulé dans ses effets vestimentaire dans un sac de jute. Selon l'Office central de répressions du trafic illicite de drogues et du blanchiment (OCRTIDB), Dabo Lamine appartiendrait à un réseau de trafiquants de drogues qui opèrent notamment en Guinée-Conakry, au Cap-Vert et au Togo en Afrique et au Brésil en Amérique du Sud. A Lomé, la drogue devrait être livrée à une femme dont la police n'a pas révélé l'identité. Fin

A l’aéroport international de Lomé: DABO Lamine arrêté pour trafic de drogue

L’Union -  20/9/2013 -  Togo - Le Guinéen Dabo Lamine appartenant à un réseau de trafiquants de drogues qui opèrent en Afrique notamment en Guinée Conakry, au Cap Vert et au Togo puis au Brésil en Amérique du Sud a été arrêté le 15 septembre 2013 et présenté ce jeudi à la presse par la Cellule Aéroportuaire Anti-Trafics (CAAT), une des antennes de l’Office Central de Répression du Trafic Illicite de Drogues et du Blanchiment. En effet, dans le cadre de leurs missions quotidiennes, notamment la fouille des passagers, des bagages et le ciblage des individus suspects, les agents de la CAAT ont réussi à intercepter ce présumé coupable âgé de 33 ans, arrestation intervenue à l’aéroport international Gnassingbé Eyadema de Lomé. Ainsi, dans la nuit du 14 Septembre 2013 le nommé Dabo Lamine a quitté Sao Paulo (Brésil) à destination de Lomé à bord du vol Ethiopian Airlines ET 507 avec deux virgule huit (2,8) kilogrammes de cocaïne liquide dissoute dans du coton qu’il a séché et emballé dans des plastiques blancs puis dissimulé dans un sac de jute contenant des effets vestimentaires. Selon les autorités de l’Office Central de Répression du Trafic Illicite de Drogues et du Blanchiment en charge du dossier « cette drogue lui a été remise par un individu dont il dit ignorer l’identité. Une fois à l’Aéroport International Gnassingbé Eyadema de Lomé, une dame dont l’identité n’est pas encore connue, laquelle possédait déjà l’adresse de DABO Lamine, devait l’intercepter afin de récupérer ladite drogue ». En attendant d’arriver à la conclusion des enquêtes, l’auteur répondra de ses actes devant les juridictions togolaises.

Saisi de 34,2 kg de Cannabis à la gare routière de Hédzranahoé à Lomé-TOGO

AfreePress -  14/9/2013 -  Togo - Le nommé ONYEKACHI Ibekwé, âge de 22 ans de nationalité nigériane a été interpelé par l’Office Central de Répression du Trafic Illicite de Drogue et du Blanchissement (OCRTIDB), en possession de 37 pains de cannabis d’un poids total de 34,2 kg. Il a été présenté à la presse jeudi. Selon les enquêteurs, le présumé auteur aurait dissimulé des pains de cannabis dans un sac de jute avec des chaussures usagées. Ce cannabis venu du Ghana devrait transiter par le Togo avant d’être livré à Cotonou au Bénin à un certain OBINNA également de nationalité nigériane, a indiqué le dealer à l’Agence Afreepress. L’auteur qui a reconnu les faits qui lui sont reprochés sera présenté au Procureur de la République à Lomé conformément aux dispositions de la loi n° 98-008 du 18 mars 1998 portant contrôle des dragues au Togo. Les autorités de la sécurité ont profité de l’occasion pour inviter la population à plus de vigilance afin de les aider à combattre ce fléau qui prend une ampleur inquiétante. Ces derniers mois, plusieurs trafiquants de drogues ont été interpellés et présentés à la presse par l’Office Central de Répression du Trafic Illicite de Drogue et du Blanchissement. Bayamna F.

Saisi de 34,2 kg de Cannabis à la gare routière de Hédzranahoé à Lomé-TOGO

AfreePress -  13/9/2013 -  Le nommé ONYEKACHI Ibekwé, âge de 22 ans de nationalité nigériane a été interpelé par l’Office Central de Répression du Trafic Illicite de Drogue et du Blanchissement (OCRTIDB), en possession de 37 pains de cannabis d’un poids total de 34,2 kg. Il a été présenté à la presse jeudi. Selon les enquêteurs, le présumé auteur aurait dissimulé des pains de cannabis dans un sac de jute avec des chaussures usagées. Ce cannabis venu du Ghana devrait transiter par le Togo avant d’être livré à Cotonou au Bénin à un certain OBINNA également de nationalité nigériane, a indiqué le dealer à l’Agence Afreepress. L’auteur qui a reconnu les faits qui lui sont reprochés sera présenté au Procureur de la République à Lomé conformément aux dispositions de la loi n° 98-008 du 18 mars 1998 portant contrôle des dragues au Togo. Les autorités de la sécurité ont profité de l’occasion pour inviter la population à plus de vigilance afin de les aider à combattre ce fléau qui prend une ampleur inquiétante. Ces derniers mois, plusieurs trafiquants de drogues ont été interpellés et présentés à la presse par l’Office Central de Répression du Trafic Illicite de Drogue et du Blanchissement.

Suite aux accusations d’escroquerie par les géomètres, la DAEMA remet les pendules à l’heure

Autre presse -  12/9/2013 -  Togo - Suite à l’article titré « Les responsables du Service de l’Agro-foncier accusés d’escroquerie par les géomètres », paru dans la parution N° 1519 du jeudi 22 août 2013, à la page 4, de nos confrères de Liberté, la DAEMA, par le biais de son Directeur, Koffi Bolor, sort du silence et apporte les rectificatifs contenus dans le texte qui suit. Ceci n’est que le contenu d’un droit de réponse adressé aux confrères et dont nous avons reçu copie. « Je suis indigné du fait que le journaliste, auteur dudit article, ne soit pas allé à la source pour vérifier les informations avant de les publier. Le rôle de la presse est de donner les vraies informations avec des preuves à l’appui et non de jeter l’anathème sur des institutions de l’Etat et sur des personnes. Une simple recherche vous permettra, au prime abord, de vous rendre compte que mon prénom n’est pas Kossi, mais plutôt Koffi. Toutefois, sans trop se verser dans la polémique, la leçon que j’ai tirée de votre article, est que le public togolais a besoin d’avoir des informations claires sur le traitement des dossiers fonciers à la Direction de l’Aménagement, de l’Equipement et de la Mécanisation Agricole (DAEMA). Aussi voudrais-je vous demander de bien vouloir publier les informations suivantes, dans le but de mieux informer ce public. 1- Paiement des coûts d’octroi de visas Les coûts d’octroi des visas contenus dans l’arrêté interministériel N°010/MEF/MDMAEPIR, du 11 novembre 2011, portant tarification des prestations payantes de la Direction de l’Aménagement, de l’Equipement Rural sont répartis comme suit : - Superficie inférieure ou égale à 01 hectare : 15.000F CFA - Superficie comprise entre 01 hectare et 10 hectares : 20.000F CFA - Superficie comprise entre 10 et 25 hectares : 50.000F CFA - Superficie supérieure à 25 hectares : 2.000F CFA par hectare. La Direction du Trésor a mis à la disposition de la DAEMA, un carnet de reçu avec trois souches qui sont délivrées au niveau de la caisse. Une fiche d’autorisation de paiement, sur laquelle est mentionné le montant à payer, est délivrée par les services techniques après étude du dossier, conformément à l’arrêté interministériel (fiche que vous avez publiée dans votre article). C’est cette fiche d’autorisation qui permet d’encaisser l’argent et de délivrer le reçu à trois souches, mis à la disposition de la DAEMA par le Trésor. La première souche est remise au géomètre, qui l’agrafe sur une copie du plan de terrain, qui sera archivé après signature. Cette souche est l’une des pièces maîtresses pour justifier que le dossier est traité à la DAEMA, en cas de litige après plusieurs années. La seconde souche est envoyée au Trésor ; c’est avec cette souche que ce dernier fait son contrôle mensuel ; et la troisième souche est utilisée à la comptabilité de la DAEMA. Le géomètre repart avec l’ordre de paiement sur lequel est posé le cachet payé. C’est cet ordre de paiement qui lui permet de revenir réceptionner son dossier. Toutes ces procédures sont arrêtées pour assurer la transparence au niveau de la DAEMA, telle qu’exigée par la réforme au niveau du Ministère des Finances. Toutes ces informations peuvent être vérifiées à la DAEMA. D’autres outils (dont la description ici sera longue) sont utilisés par le Trésor pour contrôler les opérations au niveau de notre service. Ceci, pour vous dire que les autorités ont pris à bras le corps la bonne gouvernance du pays à travers la bonne mobilisation et la gestion judicieuse des ressources de l’Etat. 2- Repayement des coûts après rejet au niveau du cadastre Le plan est généralement établi par un géomètre non agréé, qui le soumet à un géomètre agréé pour vérification selon les normes requises. Au niveau de la DAEMA, s’il s’est avéré, qu’après vérification par le géomètre agréé, il y a des erreurs, le dossier est retourné au géomètre sans lui demander les frais supplémentaires. Si, malgré toutes ces procédures de vérification, au niveau du cadastre, on constate qu’il y a encore des erreurs (à ce niveau, des erreurs sont généralement des fautes d’orthographe des noms et du remplacement des collectivités pour défaut de mandat), la DAEMA exige, avant la nouvelle signature, un paiement de 15.000 FCFA à la caisse avec délivrance de reçu du Trésor. Cette disposition a pout but de sanctionner les géomètres qui ne traitent pas les dossiers avec une sérénité requise. 3- Maintien en service des fonctionnaires admis à la retraite En ce qui concerne les fonctionnaires qui sont à la retraite et qui continuent d’assumer leur fonction (un gardien et un contrôleur de plan, puisque c’est d’eux qu’il s’agit), une négociation avec eux a permis de les convaincre de nous appuyer en attendant que la Fonction Publique mette à la disposition du service des agents pouvant les remplacer. Ces agents ne perçoivent pas de double salaire, mais reçoivent seulement la prime accordée à tout le personnel de la DAEMA, conformément à l’arrêté interministériel. Une simple visite à la DAEMA, vous permettra de vous rendre compte, à l’évidence, de ce qui se passe ». K.D. BOLOR

135kg de cannabis saisis par les limiers de l’OCRTIDB

Autre presse -  6/9/2013 -  Plus de 135kg de cannabis ont été récemment saisis, a annoncé vendredi l’Office central de répression du trafic illicite des drogue et du blanchiment (OCRTIDB). Deux Ghanéens ont été interpellés. La marchandise était réceptionnée dans deux gares routières à Lomé et à proximité du grand marché de la capitale. Selon l’adjoint au chef Bureau des opérations de l’OCRTIDB, Yélénéké Kodjo Katanga, les deux individus arrêtés font partie d’un réseau de trafiquants qui opère entre le Ghana, le Bénin, le Nigéria et le Togo. Le Togo opère régulièrement d’importantes saisies. Cannabis, cocaïne et drogues de synthèse sont la plupart du temps en transit sur le territoire avant de rejoindre les marchés européens bien plus lucratifs pour les dealers.

Arrestation de deux trafiquants de drogue Prosper et Rafael Forson présentés à la presse

Autre presse -  6/9/2013 -  48 pains de cannabis d’un poids total de 47,4 kg dissimulés dans des sacs contenant des chaussures usagées ont été saisis des mains de Forson Prosper et Forson Rafael à la gare routière de Hollando à Lomé le 3 septembre 2013. Tous de nationalité ghanéenne, ils tentaient de transiter le colis à destination de Cotonou où un autre ghanéen, Innocent Heto, est attendu pour la réception. En prélude à cette saisie, deux sacs contenant 92 pains de cannabis d’un poids de 88 kg toujours dissimulés dans des chaussures usagées ont été saisis le 29 août dernier à la gare routière de Hédzranawoé à destination de Sèmé au Bénin dont les auteurs sont en fuite. Et c’est ce qui a donné lieu à l’ouverture d’une enquête par l’Office central de répression du trafic illicite des drogues et du blanchiment (Ocrtidb), enquête qui a finalement permis l’arrestation de Forson Prosper et Forson Rafael. Conformément aux dispositions de la loi n° 98-008 du 18 mars 1998 portant contrôle des drogues au Togo, les auteurs seront présentés au Procureur de la République à Lomé.

Pour des forfaitures dans les Eglises et voitures Mis aux arrêts de deux voleurs spécialisés

Autre presse -  5/9/2013 -  L’apprenti dessinateur, Vincent Agbana, opère les jours de messe et d’adoration à l’Eglise catholique d’Adidogomé. Soudeur de profession, Koffi Amindi, commet ses forfaits dans les véhicules en stationnement à Gta, à Agoè. Comment font-ils leurs opérations ? Pour Koffi Amindi : « Quand la voiture est garée, si elle n’est pas fermée, j’ai vu le sac là dans la voiture et je l’ai pris pour partir. Ça fait au moins 6 jours. Je suis à la maison et les policiers sont venus m’arrêter ». L’autre accusé, Vincent Agbana a fait des aveux. « Je suis allé prier à l’Eglise et il y avait une femme qui priait et a laissé son sac sur le banc ». Les fouilles ont permis de retrouver les cartes d’identité, appartenant aux femmes, les clés Usb, un ordinateur portable, des passeports, des cartes d’électeurs, des crédits de communications, les clés de coffres forts, plusieurs objets, au domicile des prévenus. Pour le Cdt Agba Kondi : « Agbana, se faisait passer comme un fidèle, participe aux messes et profite des concentrations des fidèles pour s’emparer de leurs portefeuilles. Koffi Amindi est un repris de justice demeurant à Lomé au quartier Bè Château...La poursuite de l’enquête révèle qu’une importante somme volée dans les mêmes circonstances lui a servi de s’acheter une moto ». Quand vous priez dans les églises, n’oubliez pas vos portefeuilles !

Quand Adebayor, Cissé et Essien s’affrontent sur le dancefloor

Autre presse -  24/6/2013 -  La seconde édition du Game of Hope, organisée par la fondation de Michael Essien, a donné lieu à un match de charité qui s’est déroulé à Accra. L’occasion pour les joueurs invités par le milieu de terrain de Chelsea de taper dans le ballon pour récolter des fonds... mais aussi d’improviser un concours de danse lors du gala qui a eu lieu la veille. De quoi permettre à Adebayor, Ballack, Cissé et leurs acolytes de se tester à l’Azonto, célèbre danse originaire du Ghana.

Affaire d’escroquerie : L’état de santé de Loic Le Floch Prigent était-il réellement grave ?

Autre presse -  17/6/2013 -  Togo - Libéré il y a quelques mois et placé sous contrôle judiciaire, le Français Loïc Le Floch Prigent, inculpé dans l’affaire d’escroquerie dont aurait été victime l’émirati Abass Al Youssef pour des préjudices estimés à environ 48 millions de dollars, ne finit plus de faire le tour des studios et plateaux télévisions. Pour régler ses comptes et dire tout le mal qu’il pense du Togo. Au point où la question sur son véritable état de santé qui a motivé son évacuation sanitaire se pose. Depuis son interpellation à Abidjan, son extradition vers Lomé et sa détention dans les locaux de la gendarmerie nationale, l’un de sujets tournant autour de l’ancien Directeur général d’Elf fut son état de santé ; reléguant presque au second plan la question de son implication dans l’affaire d’escroquerie en bande organisée dont il est soupçonné par la justice d’en être l’un des cerveaux. Sa situation médicale en a ému plus d’uns ; l’avocat du plaignant prenant même position ouvertement pour une éventuelle libération sous caution. Beaucoup de pathologies ont été évoquées le concernant, nécessitant une intervention chirurgicale urgente, au risque sinon que monsieur Prigent se voie imputer d’une jambe ou pire, perdre sa vie. Dans la campagne médiatique orchestrée à ce propos, son avocat Me Patrick Klugmann a été un véritable maître d’oeuvre, n’hésitant pas à chaque occasion, de convoquer l’humanisme de chacun et la nécessité de prodiguer des soins à son client, sous peine d’un drame humain. Mme Prigent a été également mise à contribution. Elle a d’abord publié une lettre ouverte, très émouvante, au Président français François Hollande, le suppliant d’intervenir pour l’évacuation de son mari. Elle a ensuite été reçue par plusieurs médias pour parler du cas de ce dernier. Des initiatives, notamment celles du Quai d’Orsay et de la représentation diplomatique française au Togo, ont été mises en œuvre pour que l’ex DG, puisse bénéficier d’une libération provisoire. PLUTÔT EN PLEINE FORME : Depuis qu’elle est intervenue au mois d’avril, plus personne n’a entendu parler de cet état de santé présenté pourtant comme gravissime. Encore moins de l’intervention chirurgicale vue comme « indispensable. » Au contraire, monsieur Prigent semble avoir retrouvé une forme de jeunesse, écumant les studios radios et squattant les plateaux pour s’en prendre au plaignant, mais surtout à la justice togolaise et au Chef de l’Etat. Après I-Télé, LCI, Africa N°1 etc., le dernier en date est RFI qui a ouvert lundi dernier et pour la 2é fois, son micro à l’inculpé. La plupart du temps, ces temps d’antenne sont faits de façon complaisante, sans réelle contradiction. A part ses diatribes et injures contre le Togo, monsieur Loïc Le Floch Prigent reste évasif sur le fond de l’affaire et très peu convaincant. L’homme qui se présente comme une victime et accuse le Togo, est pourtant peu crédible dans ses déclarations, au regard de son passé et de ses multiples condamnations en France ( abus de confiance, escroquerie, faux et usage de faux, abus de biens sociaux) pour lesquelles il a purgé plusieurs années de prison. Quoi qu’il en soit, il y a de fortes chances qu’il soit de nouveau interpellé et cette fois-ci gardé jusqu’à ce qu’un procès ait lieu, s’il prend le risque de voyager dans un certain nombre de pays africains, assure-t-on du côté de la justice togolaise. Son complice présumé, monsieur Bertin AGBA, également bénéficiaire d’une libération sous contrôle judiciaire, a fui le pays en violation des conditions de cette mesure. Un mandat d’arrêt international a été délivré contre lui. Des rumeurs l’annoncent en Europe tandis que d’autres le situeraient en Afrique du Sud. « Pure diversion et fausse piste, connaissant l’homme » commente-t-on chez les juges.