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Togo-Christophe Tchao veut accorder deux nouveaux mandats à Faure Gnassingbé
Publié le mercredi 14 juin 2017  |  icilome


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Parfait
2ème séance plénière de la 2ème session ordinaire de l’année 2016 du Parlement consacrée à l`adoption de deux textes
Lomé, le 18 octobre 2016. Siège du Parlement. Les parlementaires ont adopté d`une part le Projet de loi autorisant la ratification de la Convention de Minamata sur le mercure, adoptée le 10 octobre 2013 à Kumamoto au Japon. D`autre part, ils ont aussi voté pour la loi autorisant l’adhésion du Togo à la Convention pour la protection des biens culturels en cas de conflit armé, convention adoptée à la Haye, le 14 mai 1954 et ses deux protocoles, adoptés respectivement, le 14 mai 1954 et le 26 mars 1999. Christophe TCHAO, Président du Groupe Parlementaire UNIR.


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Si le régime au pouvoir ne veut pas faire les réformes prescrites dans l’Accord politique global (APG), c’est parce qu’il souhaite que Faure Gnassingbé fasse encore deux nouveaux mandats de cinq ans au moins.

Actuellement, le texte sur les réformes constitutionnelles, institutionnelles et électorales proposé à l’Assemblée nationale par les partis de l’opposition ANC et ADDI est sur la table. Mais les députés de la majorité, comme on le leur connaît, préfèrent jouer le dilatoire. Le président du groupe parlementaire, Christophe Tchao, vient de préciser : « UNIR veut des réformes consensuelles avec le compteur remis à zéro». En clair, des réformes qui permettent à Faure Gnassingbé (qui est à son troisième mandat) d’en faire encore deux nouveaux.

Selon l’ancien ministre des Sports, son camp ne rejette par le projet de loi de l’ANC et de l’ADDI. Il souligne qu’il faut un consensus pour inciter le régime cinquantenaire à envoyer à l’Assemblée nationale les propositions de la Commission de réflexion présidée par Awa Nana-Daboya.

« En ce moment, il y aura deux possibilités. Si leurs préoccupations sont prises en compte dans ce document, tant mieux. Sinon, on ressort la proposition pour la faire intégrer dans le document qui sera présenté par le gouvernement », déclare le président du groupe parlementaire UNIR.
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