La semaine dernière, Eco d’ici Eco d’ailleurs s’intéressait à l'économie ivoirienne, à l'occasion de l'escale parisienne du président ivoirien Alassane Ouattara. Après cette escale, le chef de l'Etat ivoirien a poursuivi son périple européen par un déplacement à Berlin.
Berlin où se tenait la conférence sur le partenariat du G20 avec l'Afrique. Neuf chefs d'Etats africains avaient fait le déplacement, à l'invitation de la chancelière Angela Merkel. Cette idée de plan Marshall pour l'Afrique chemine depuis de longs mois. Au mois de juillet 2015, le président guinéen Alpha Condé l'évoquait déjà. Quatre mois plus tard, on retrouvait l'expression dans la bouche du président Issoufou du Niger.
Alors un plan Marshall pour quoi faire ? Avec quels moyens ? Financés par qui ? Conçu par qui ? Pour le bien de qui ? Voilà quelques-unes des questions posées par Jean-Pierre Boris aux trois invités de l’émission.
- Chérif Salif Sy, économiste sénégalais, ex-ministre au Cabinet du président de la République sénégalaise, ancien directeur général de l'ANCAR, l'agence nationale de conseil agricole et rural.
- Grégoire Rota-Graziosi, directeur du CERDI, le Centre d'études et de recherches sur le développement international, de réputation mondiale qui est installé à Clermont-Ferrand.
- Armelle Lecomte, porte-parole de l'ONG Oxfam France pour les questions énergétiques et climatiques.... suite de l'article sur RFI