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Crise universitaire : Satchivi et Amagbégnon condamnés à 12 mois de prison avec sursis
Publié le mardi 27 juin 2017  |  La Voix de la Nation


© aLome.com par Parfait & Edem Gadegbeku
Sept étudiants relaxés pour défaut de preuves au terme d`un procès sous tension après les violences du 14 au 16 juin sur le campus de Lomé
Lomé, le 20 juin 2017. Salle d`audience du Palais de justice de la capitale togolaise. Le procès des étudiants de l’Université de Lomé arrêtés lors des manifestations des 14,15 et 16 juin 2017 sur le campus universitaire réclamant de meilleures conditions d’études s`est achevé sur une relaxe de 7 étudiants pour défaut de preuves, à la grande satisfaction de leur conseil. Le procès s’est déroulé sous une grande tension entretenue par le mécontentement des étudiants venus épauler leurs camarades jugés.


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Douze (12) mois de prison avec sursis, c’est la sanction infligée contre les étudiants Foly Satchivi et Marius Amagbégnon à l’issue de leur procès tenu ce lundi à la chambre correctionnelle du Tribunal de Lomé.

Détenus depuis le 14 juin dernier dans le cadre des mouvements estudiantins qui ont secoué ces derniers jours le campus universitaire de Lomé, ces responsables de la Ligue Togolaise des Droits des Etudiants (LTDE) retrouvent ainsi une liberté conditionnée.

En effet, cette forme de condamnation à en croire les juristes, est à la fois bonne et mauvaise dans la mesure où certes, les détenus ne feront plus l’objet d’une incarcération, mais ils ne sont pas non plus innocentés pour autant, et certaines conditions doivent alors s’appliquer suivant l’ordonnance de probation. En liberté, ces étudiants doivent ainsi soigner leur comportement afin de ne plus faire l’objet d’une nouvelle condamnation.

Aux yeux de leurs avocats, il s’agit d’un procès injuste et à « double vitesse » parce que, disent-t-ils, sur les mêmes faits, d’autres étudiants avaient été libérés au bénéfice du doute.
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