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Togo/Libération de Satchivi et Amagbegon: La défense promet casser la réquisition de 12 mois de prison avec sursis
Publié le mardi 27 juin 2017  |  Emergence Togo


© aLome.com par Parfait & Edem Gadegbeku
Sept étudiants relaxés pour défaut de preuves au terme d`un procès sous tension après les violences du 14 au 16 juin sur le campus de Lomé
Lomé, le 20 juin 2017. Salle d`audience du Palais de justice de la capitale togolaise. Le procès des étudiants de l’Université de Lomé arrêtés lors des manifestations des 14,15 et 16 juin 2017 sur le campus universitaire réclamant de meilleures conditions d’études s`est achevé sur une relaxe de 7 étudiants pour défaut de preuves, à la grande satisfaction de leur conseil. Le procès s’est déroulé sous une grande tension entretenue par le mécontentement des étudiants venus épauler leurs camarades jugés.


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C’est avec indignation que les conseils des étudiants Foly Satchivi et Marius Amagbegnon ont quitté le Tribunal ce 26 juin 2017 après que le juge de la Chambre correctionnelle du Tribunal de Première Instance de Lomé a condamné leurs clients d’une peine de 12 mois de prison avec sursis.

Il est vrai que le président de la Ligue togolaise des droits des étudiants (LTDE), Foly Satchivi, et son camarade Marius Amagbegnon aient été libérés ce jour, mais les avocats de la défense parlent d’une "justice à double vitesse" et promettent faire appel.

«Pour retenir une infraction à l’encontre de quelqu’un, il faut des éléments constitutifs. Nous avons vu dans la salle que le ministère public a manqué de démontrer la constitution de l’infraction car il n’a pas rapporté la preuve de ce qu’il reproche aux deux étudiants.

Sur la base des mêmes faits, on libère ; et sur la base des mêmes faits, on condamne. C’est dommage », a dénoncé Me Raphael Kpandé-Adzaré aux côtés de qui Maîtres Paul Dodji Apevon, Zeus Ajavon et Célestin Agbogan ont défendu les étudiants arrêtés le 14 juin dernier et dont certains étaient libérés le 19 du mois courant.
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