Cette année, après la coupure qui a privé deux régions du Cameroun d'accès à Internet pendant près de trois mois. La semaine dernière, ce fut le tour du Mali.— Alors que la rue manifeste contre le référendum sur le projet de réforme constitutionnelle, les internautes maliens ont été privés de Facebook et de Twitter sans explication.
Pendant deux jours, le million d'utilisateurs de ces réseaux sociaux n'ont pas pu s'y connecter. En Afrique où plus de la moitié des 281 millions d’internautes ont un compte Facebook, ces pratiques illégales sont pourtant en pleine croissance, selon maître Julie Owono, avocate au barreau de Paris et responsable de l'organisation Internet sans frontières.... suite de l'article sur RFI