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Dodji Kokoroko saisit Komi Wolou pour ne pas permettre à Foly Satchivi de composer
Publié le mercredi 5 juillet 2017  |  Global Actu


© aLome.com par Parfait
Campus de l`université de Lomé.
Lomé, le 28 juin 2017. Campus de l`université de Lomé, un jour d`activités


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Le président de l’Université de Lomé (UL), Pr Komlan Dodji Kokoroko a adressé ce lundi un courrier au doyen de la Faculté de droit (FDD) de ladite université, Pr Komi Wolou, afin que des « dispositions nécessaires » soient prises pour que Foly Satchivi, le président de la Ligue togolaise des droits des étudiants (LTDE) et étudiant en droit, n’ait pas accès à la salle d’examen pour les évaluations finales du semestre Mousson 2016-2017.

Pour justifier sa demande, le président de l’UL prend à témoin ce qu’il appelle le « lynchage gratuit » que l’étudiant a organisé contre l’UL et contre sa propre personne et l’absence du nom de Foly Satchivi dans les fichiers de la Direction des affaires académiques et de la scolarité (DAAS) pour le compte de l’année 2016-2017.

Le professeur Kokoroko demande également au doyen de la FDD/UL de donner des instructions aux services compétents, afin, souligne-t-il, «qu’aucune note ne soit affichée au profit de l’intéressé».

En attendant de savoir si le Pr Komi Wolou respectera les injonctions données par son supérieur hiérarchique, l’intéressé lui-même ne va pas du dos de la cuillère pour répondre à M. Kokoroko.

Dans une lettre ouverte adressée au président de l’UL, M. Satchivi, après avoir rappelé au destinataire que le 26 juin dernier, lors de son procès, ses avocats et lui ont démontré au juge et au Procureur de la République sa régulière inscription, dit trouver en cette démarche du «chantage» et de la «diffamation».

« Il est temps que vous arrêtez de colporter des mensonges grotesques sur ma modeste personne. Vous avez envie de me noyer parce que j'ai refusé de prendre votre bourse, votre argent et de jouer à votre jeu et, surtout parce que je suis devenu trop dérangeant à cause de ma franchise et de mon honnêteté. Ça je le sais. Mais ne m'accusez pas de rage », écrit l’étudiant.
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