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Jean-Pierre Fabre répond à ses détracteurs : «Le bon sens a foutu le camp au Togo»
Publié le vendredi 21 juillet 2017  |  Global Actu


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Dodo Abalo
Jean-Pierre Fabre délivrant son message du 27 avril 2017
Lomé, le 26 avril 2017. Siège de l`ANC. Jean-Pierre Fabre délivrant son message du 27 avril 2017.


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Le chef de file de l’opposition togolaise, Jean-Pierre Fabre, se dit obsédé par la mise en œuvre des réformes constitutionnelles, institutionnelles et électorales prescrites par l’Accord politique global (APG) signé en août 2006 par les acteurs politiques togolais.

Pour lui, rien de bon ne peut se faire dans ce pays sans ces réformes et ceux qui pensent le contraire, « ont intérêt au maintien du système politique en place ». C’est en ces termes que le leader de l’Alliance nationale pour le changement (ANC) s’est exprimé ce jeudi midi sur la radio Nana FM.

« La question n’est pas de savoir si les réformes garantissent l’alternance, elle est de savoir si ces réformes sont nécessaires au vivre-ensemble, au respect de la loi, à l’organisation d’élections libres, équitables, transparentes et démocratiques. A partir de là, s’il y a alternance, tant mieux ; s’il n’y en a pas, l’essentiel est que les résultats ne soient pas contestés », a-t-il expliqué.

En tout cas, à l’ANC, on pense que ces réformes sont vitales, voire indispensables à l’évolution de la vie économique, politique et sociale et la question de l’Etat de droit est le problème fondamental du Togo.

Par rapport aux acteurs politiques qui pensent le contraire de tout ce qui précède, M. Fabre dit ne pas accorder une grande importance puisque pour lui, aujourd’hui au Togo, « le bon sens et la réflexion ont foutu le camp ». Mieux, ce sont « les beaux parleurs » qui tiennent le haut du pavé.

Pour réaliser son « obsession », Jean-Pierre Fabre compte sur le peuple togolais qu’il va prochainement appeler à travers les cinq (5) partis politiques regroupés au sein du Combat pour l’alternance politique en 2015 (CAP 2015), à battre le pavé.

«C’est le peuple qui est le détenteur de la souveraineté et il lui faut à un moment donné, s’exprimer et dire ce qu’il veut. La rue est un espace de débat démocratique, y compris dans les pays les plus avancés démocratiquement », a-t-il souligné.
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