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La CEDEAO à la vieille école de Malthus…et de Macron
Publié le vendredi 28 juillet 2017  |  Financial Afrik


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Parfait
Les grands chantiers de Faure GNASSIGBE à la tête de la CEDEAO, dévoilés
Lomé, le 07 juillet 2017. Locaux du ministère des Affaires étrangères. Conférence de presse co-animée par Robert Dussey et Marcel de Souza, Président de la Commission de la CEDEAO. Au cours d’une rencontre avec des diplomates et la presse, le chef de la diplomatie togolaise a présenté la feuille de route de Faure GNASSINGBE pendant son mandat à la tête de la CEDEAO. Comme initiatives du chef de l’Etat togolais, on peut citer: l’organisation d’une Réunion sur la libre circulation des personnes, l’organisation d’un Sommet extraordinaire sur la paix et la lutte contre l’extrémisme violent en Afrique, un Forum économique entre la CEDEAO et ses partenaires et la mise en place d’un système de santé efficace en Afrique occidentale. Marcel Alain de Souza, Président de la Commission de la CEDEAO.


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Dans le sillage des déclarations du président français Emmanuel Macron à propos de la forte natalité africaine, la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) est bien déterminée à user du Malthusianisme pour faire face à sa population galopante.


Ainsi, les parlementaires de la CEDEAO, de la Mauritanie et du Tchad ont convenus lors d’une réunion, tenu le weekend dernier , de soumettre un projet, portant limitation du nombre d’enfants à 3 par femme d’ici 2030.

Une « mesure draconienne » qui fait référence à l’économiste anglais Thomas Robert MALTHUS, qui avait défendu la thèse selon laquelle, « il faut limiter le nombre de naissance pour une meilleure allocation des ressources car la population augmente plus rapidement que les ressources utiles à son alimentation».

Malthus est allé plus loin en indiquant qu’il faut même créer des guerres pour diminuer la population, qui peut devenir un frein au développement.

De l’avis d’éminents économistes, pour baisser significativement la pauvreté, il faut s’attaquer à la croissance économique.
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