Les avocats de Bruno Amah, Simliya Kpatcha et Raphaël Kpiki-Sama, condamnés dimanche respectivement à la perpétuité et à 28 ans de réclusion, ont décidé mercredi de se pourvoir en cassation.
Ils estiment que leurs clients ne sont pas les auteurs de l’assassinat d’une dizaine de jeunes femmes en 2012 à Lomé et que leurs aveux ont été obtenus sous la contrainte.
Le pasteur Antonio Monteiro et Idrissou Moumouni, inculpés dans la même affaire, ont été acquittés.
Les condamnés étaient, au moment des faits, membres de l’Eglise adventiste du 7e jour.