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11ème anniversaire de l’APG : Raphaël Kpandé-Adzaré tient Awa Nana-Daboya pour responsable
Publié le lundi 21 aout 2017  |  GLOBAL ACTU


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Parfait
Tournée d`information et d`échanges du HCRRUN avec des populations de la Préfecture du Golfe
Lomé, le 18 mai 2017. Préfecture du Golfe. Dans le cadre de la mise en oeuvre du programme de réparations de la CVJR, le HCRRUN (Haut Commissariat à la Réconciliation et au Renforcement de l`Unité Nationale) est en tournée d`information et d`échanges dans les 08 régions créées par la CVJR. L`étape de la Préfecture du Golfe de cette tournée a été conduite par Awa Nana-Daboya, en présence du Préfet Hodabalo AWATE. Plusieurs autorités traditionnelles, religieuses et provenant d`autres secteurs d`activités de la préfecture du Golfe ont aussi pris part à cette rencontre.


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L’Accord politique global (APG) signé par les acteurs politiques togolais le 20 août 2006 pour résoudre les problèmes issus des violences concomitantes à l’élection présidentielle d’avril 2005, serait un enfant qu’il fêterait ses 11 ans ce dimanche 20 août. Et pourtant, les réformes politiques prescrites par cet accord tardent à voir le jour.

Au détour de la conférence de presse que l’organisation qu’il préside a animée ce dimanche à Lomé, le président de la Ligue togolaise des droits de l’homme (LTDH), Raphaël Kpandé-Adzaré s’en est vertement pris à Awa Nana-Daboya, à la fois présidente du Haut-commissariat à la réconciliation et au renforcement de l’unité nationale (HCRRUN), médiatrice de la République et présidente de la commission de réflexion sur les réformes politiques au Togo, mise en place par le chef de l’Etat.

Mme Nana-Daboya, a estimé le défenseur des droits de l’homme, « sera responsable de ce qui arrivera au peuple togolais » et répondra de ses actes devant l’histoire. «Si elle ne veut pas de problème, il faut qu’elle démissionne comme elle l’avait fait en 1998», a-t-il ajouté.

Selon lui, malgré le consensus qui s’est dégagé sur la limitation du nombre de mandats présidentiels et le mode de scrutin à deux (2) tours, lors de l’atelier organisé par le HCRRUN en décembre 2016, rencontre à laquelle ont pris par les forces vives de la nation représentatives des populations du Togo, la présidente de la commission se promène encore de préfecture en préfecture pour recueillir on ne sait quel avis des Togolais.
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