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TOGO: A quand la fin des acharnements contre Pascal Bodjona ?
Publié le vendredi 17 janvier 2014  |  Journal La Nouvelle


© Autre presse par DR
Pascal Bodjona, l’ex ministre de l’Administration territoriale, de la collectivité locale.


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Maintenant ce n’est plus un secret de polichinelle pour personne, que Faure Gnassingbé, Président de la République veut finir définitivement avec son ami sincère et frère d’hie...r, depuis les Etats-Unis d’Amérique (USA).

Dans la parution de notre journal La Nouvelle N° 0004 du 15 juillet au 15 août 20012,
Nous écrivions ceci :
« Pascal Akoussoulèlo BODJONA, ministre de l’Administration territoriale, de la décentralisation et des collectivités locales, porte-parole du gouvernement. En mars 2010, il a
fait des pieds et des mains, la force et fraude pour maintenir Faure Gnassingbé et son clan au pouvoir suite à l’élection présidentielle. Nous lui demandons cette fois-ci de faire très attention, sinon plus tard il rendra compte au peuple. Nous lui rappelons que depuis un temps il est lui-même dans le collimateur des tortionnaires de la République pour la fausse affaire Sow Bertin Agba. Il doit savoir que tôt ou tard, il sera écarté du système qu’il protège, défend corps et âme. »

A l’époque nous avions vu juste. Et moins d’un mois après la publication de l’article, c'est-à-dire le 1er septembre 2012, Pascal Bodjona a été arrêté comme un vulgaire homme.

Le prince héritier de Pya est un homme cynique et vraiment ingrat. Nous lui rappelons qu’il a déjà et vite oublié ce qu’ils ont fait ensemble, lui Faure et Pascal, aux Etats-Unis. Un des anciens chauffeurs à l’ambassade du Togo à Washington (USA) était témoin, et raconte avec un regret et pincement au cœur qu’il ne peut jamais imaginer un seul instant que Faure Gnassingbé pouvait se comporter et agir de la sorte contre son frère ami Pascal Bodjona.

Eh oui ! Comprenons ainsi que le pouvoir rend toujours l’Homme dingue et diabolique.

Si en mars 2010 on disait à Pascal Bodjona, ministre de l’administration territoriale et des collectivités locales, au cours de la proclamation des résultats troqués de l’élection présidentielle, que en 2012 le fils « bien aimé » de Eyadéma va se retourner contre lui, il ne va pas croire.
L’homme de Pya où de Agou selon, ne doit pas en aucun cas oublier qu’en 2010, il n’avait pas du tout gagné l’élection présidentielle. La victoire du vrai gagnant Jean-Pierre Fabre, lui a été volée par l’homme de Kouméa au profit de l’homme de Pya.
Si en ce temps de ce hold up, ce dernier était un homme bien pour Faure et son clan. Mais ils ont tous ignoré le risque que Pascal prenait à l’époque par apport à sa famille (femme et enfants) et lui-même.
Aujourd’hui, Pascal Bodjona est pour eux, personne non grata et indésirable dans le système et aussi des journalistes ventrocrates, charognards et bitosards de la République qui bénéficiaient les largesses de ce dernier à l’époque.
Les sécuricrates, la bande des mafieux, tueurs, voleurs et pilleurs du pays à savoir : (Général Atcha Titikpina, Colonel Alex Yotroféi Massina, Colonel Didier Bawoubadi Bakali, Ingrid Awadé Gilbert Bawara et autres), ont fait tout pour monter une affaire bidon d’escroquerie dite internationale pour régler des comptes à l’homme de mains, l’homme à tout faire et sincère du prince héritier du trône.

Tout ça pourquoi ?

Bien qu’après les coûts tordus, la justice semble donné raison à Pascal Bodjona, mais des gens tapis dans l’ombre de la justice continuent de faire des pieds et des mains pour finir complètement avec le plus fidèle et sincère à l’époque du prince.
Nous connaissons très bien ces malhonnêtes qui agirent dans l’ombre, mais au moment venu, nous serons dans l’obligation de rendre public leurs noms.
Eux tous doivent savoir, que s’ils jouissent des fruits du pouvoir aujourd’hui, c’est grâce au vole de la victoire en mars 2010 de Pascal Bodjona.

Si vraiment les acharnements contre Pascal Bodjona ne profite pas au prince lui-même, nous lui demandons alors sincèrement d’avoir le courage de mettre fin à tout ça.

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