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Me Yawovi Agboyibo : "S’il y a un début de respect de la volonté du peuple, il nous revient de faire en sorte qu’on aille jusqu’au bout afin que ce que le peuple veut soit respecté"
Publié le jeudi 7 septembre 2017  |  Telegramme 228


© aLome.com par Edem Gadegbeku et Dodo Abalo
Foule monstre à une manifestation de plusieurs partis d`opposition du Togo pour dénoncer la gouvernance sous Faure GNASSINGBE
Lomé, le 06 septembre 2017. Principales artères de la capitale togolaise. Une large coalition de l`opposition togolaise bat le pavé dans la capitale comme dans plusieurs autres villes du pays pour exiger le "retour à la Constitution de 1992, le vote de la diaspora et l’élargissement des opposants condamnés après les violences des 19 et 20 août 2017 ayant émaillé une manifestation du parti PNP (Parti national panafricain)". Une foule monstre participe à cette mobilisation.


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Ce mercredi et demain jeudi, la rue togolaise va gronder sous les bottes des militants de l’opposition et associations proches du pouvoir. Pour ce premier jour de manifestation du côté des forces démocratiques, les réactions n’ont pas manqué quant à l’adoption depuis hier en Conseil des ministres d’un projet de loi portant révision des articles 52, 59 et 60 de la Constitution togolaise votée par référendum en 1992 et révisée en 2002.


Réagissant à cette option prise par le gouvernement de Faure Gnassingbé, de réviser la Constitution une nouvelle fois, Me Yawovi Agboyibo qui était de la manifestation de ce jour du côté de l’opposition, avec son parti le CAR, comme ce fut le cas des autres leaders de partis politiques dont nous vous proposons les réactions à sa suite, a indiqué ""c’est vrai qu’il y a eu un projet mais un projet c’est toujours une intention. Il faut voir et attendre les jours à venir pour voir concretement ce qu’il peut en être. Au fond, cela fait partie des changements, des réformes que nous revendiquons depuis des années. On a déploré qu’on ait pas été entendu. Maintenant s’il y a un début de respect de la volonté du peuple, il nous revient de faire en sorte qu’on aille jusqu’au bout afin que ce que le peuple veut soit respecté"".


Autres réactions :

Gerry Taama, NET : "On s’attend à ce que les choses changent dès demain de façon importante"
""Depuis le 19 Août, les forces démocratiques ont compris que le changement est une chose impérieuse et comme vous le voyez, tous les partis de l’opposition se sont mis ensemble pour montrer que tout le monde veut le changement. On s’attend à ce que les choses changent dès demain de façon importante sinon on restera dans la rue jusqu’à ce que les choses changent. On peut le prolonger autant de fois qu’il faut"".
Me Tchassona Traoré, MCD : ""Les gouvernants n’ont plus le choix, ils doivent répondre aux attentes du peuple""


"Pour une fois que ce peuple décide à prendre son destin en main, il me semble que les gouvernants n’ont plus de choix, ils doivent répondre aux attentes du peuple. Nous demandons seulement que le président et son gouvernement appuient sur l’accélérateur. Et qu’ils ne le fassent pas seuls, qu’ils fassent en sorte que l’ensemble des revendications depuis attendues puissent être une fois actées au niveau de de l’Assemblée nationale par nos élus afin qu’on tourne une page et construire notre pays dans la paix".
... suite de l'article sur Autre presse


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