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Togo: le gouvernement et l’UFC promettent d’aller au bout des réformes
Publié le samedi 9 septembre 2017  |  RFI


© aLome.com par Edem Gadegbeku et Parfait (Photo d`archive)
Foule monstre à une manifestation de plusieurs partis d`opposition du Togo pour dénoncer la gouvernance sous Faure GNASSINGBE
Lomé, le 06 septembre 2017. Principales artères de la capitale togolaise. Une large coalition de l`opposition togolaise bat le pavé dans la capitale comme dans plusieurs autres villes du pays pour exiger le "retour à la Constitution de 1992, le vote de la diaspora et l’élargissement des opposants condamnés après les violences des 19 et 20 août 2017 ayant émaillé une manifestation du parti PNP (Parti national panafricain)". Une foule monstre participe à cette mobilisation.


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Pour le deuxième jour consécutif, une foule massive s’est rassemblée dans les rues de Lomé, au Togo, ce jeudi. Les manifestants demandent des réformes parmi lesquelles la limitation du nombre et de la durée des mandats du chef de l’Etat. Sur ce sujet, les autorités ont tenté de jouer l’apaisement. Elles annoncent l’examen d’un projet de loi mardi prochain au Parlement.

Ce projet prévoit la limitation à deux du nombre de mandats parlementaires et présidentiels ainsi que l’instauration du scrutin présidentiel à deux tours (contre un seul aujourd’hui). Cette fois, les réformes aboutiront, promet le camp présidentiel. C’est ce que souligne Gilbert Bawara, le ministre de la Fonction publique et de la réforme administrative, joint par RFI :

«Ce qui est le plus important, c’est que dans le contexte politique et institutionnel actuel, ni le président de la République, ni le gouvernement ou la majorité parlementaire n’ont la possibilité d’imposer et de faire adopter une réforme constitutionnelle sans la participation des autres partis politiques, salue-t-il. Nous espérons que les partis politiques, notamment ceux qui siègent à l’Assemblée nationale, tout en ayant la possibilité d’apporter des amendements et de faire des propositions, œuvreront dans le sens du compromis et du consensus nécessaires pour l’adoption de ces réformes. »
... suite de l'article sur RFI


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