Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Togo    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article



 Titrologie



Autre presse N° 001 du

Voir la Titrologie

  Sondage


 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Politique

’Le retour à la constitution de 1992 ne peut être envisagé’
Publié le lundi 16 octobre 2017  |  Republic of Togo


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Jacques Tchako
A l’occasion des 25 ans de la Constitution de la IVème République Togolaise, un Colloque a été organisé par le Centre de droit public de l’Université de Lomé
Lomé, les 13 et 14 octobre 2017. Ex Hôtel Radisson Blu. A l’occasion des vingt-cinq ans de la Constitution de la IVème République Togolaise, un Colloque a été organisé par le Centre de droit public de l’Université de Lomé afin d’échanger autour du contexte de sa naissance, et éventuellement du contexte de sa mutation face aux nouvelles donnes sociopolitiques de l’heure. Ils sont universitaires, praticiens du droit, acteurs politiques, de la Société civile et étudiants à s`être réunis autour du thème "Les vingt-cinq ans de la Constitution de la IVème République du Togo, 14 octobre 1992- 14 octobre 2017», dans le cadre de ce Colloque international.


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier


Le colloque organisé par l’université de Lomé (UL) à l’occasion du 25e anniversaire de la promulgation de la constitution de la Ive République s’est achevé samedi.

Les réflexions menées pendant 2 jours apporteront ‘inévitablement une valeur ajoutée aux décideurs pour l’avenir du pays’, a souligné Dodzi Komlan Kokoroko, le président de l’UL.

‘Les débats ont permis de parvenir à deux importantes conclusions. D’une part, le retour à la constitution de 1992 ne peut être envisagé en l’état actuel des choses. D’autre part, le projet de loi de réformes constitutionnelles introduit récemment par le gouvernement ne saurait prospérer au regard de son caractère elliptique", a-t-il ajouté.

Le président de l’UL recommande que la future constitution prenne en considération un certain nombre de problématiques comme la moralisation de la vie publique, le Sénat et l’amélioration du code électoral.

Enfin, les organisateurs ont tenu à préciser que l’absence d’Edem Kodjo et de Mgr Nicodème Barrigah-Benissan, n’avait rien d’un boycott, mais d’un emploi du temps serré ne leur permettant pas de prendre part aux travaux.
... suite de l'article sur Autre presse




Ce qui peut arriver à UNIR s`il persiste à ne pas faire les réformes (Magloire KUAKUVI)
Publié le: 8/10/2017  | 


 Commentaires