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Tikpi Atchadam demande l’intervention du Président français Emmanuel MACRON
Publié le vendredi 20 octobre 2017  |  La Voix de la Nation


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Parfait
Scènes de violences au 1er des deux jours (18 & 19 octobre) de marche empêchée de l`opposition
Lomé, le 18 octobre 2017. Quelques artères de la capitale togolaise. Scènes d`échauffourées entre forces de l`ordre et manifestants. Une journée marquée par l`entrée en action de miliciens.


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Le leader du Parti National Panafricain (PNP), parti membre de la coalition des 14 partis de l’opposition, attend une intervention du Président Français en vue d’une sortie de la crise qui secoue actuellement le Togo. Cette volonté de voir Emmanuel Macron intervenir pour une résolution de la crise sociopolitique, Tikpi Atchadam l’a fait savoir ce jeudi soir au micro de nos confrères de la RFI.

« Nous croyons que le président Emmanuel Macron va intervenir, et nous attendons », a en effet indiqué Tikpi Atchadam.

« Nous attendons un geste de la France, les togolais croient encore en la France. Les togolais sont en train de défendre les mêmes valeurs défendues par la France à savoir la liberté, la justice et la fraternité. Oui nous croyons en la France et les togolais attendent un mot de la France, nous attendons quelque chose de la France », a-t-il ajouté, avec la confiance que la France qui, selon lui, a sa manière d’apprécier la situation, réagira au moment opportun.

Tikpi Atchadam se dit également convaincu que le poids manquant dans la balance pour que Faure Gnassingbé puisse bouger est celui du Chef de l’Etat français.

Depuis le 19 août dernier, le Togo est plongé dans une crise sociopolitique surtout marquée par des manifestations de l’opposition qui exige de profondes réformes politiques parmi lesquelles, le retour à la Constitution originelle de 1992. Les tentatives de manifestation de la coalition des 14 partis de l’opposition ces 19 et 20 octobre se sont soldées par de violents affrontements entre manifestants et forces de l’ordre avec au bilan, un mort, des blessés et plusieurs dizaines d’interpellations selon le ministère en charge de la sécurité.
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