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États-Unis: Barack Obama fait son grand retour dans le jeu politique
Publié le vendredi 20 octobre 2017  |  Jeune Afrique


© Autre presse par U.S. Department of State
Sommet Etats Unis - Afrique : Arrivée des chefs d`états à la Maison Blanche pour un dîner de groupe
Mardi 5 Aout 2014. Etats-Unis, Washington. Arrivée des chefs d`états à la Maison Blanche pour un dîner de groupe pendant le sommet des Chefs des USA Afrique à Washington. Photo : Faure Gnassingbé


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Barack Obama a replongé le 19 octobre dans le bouillonnement des réunions de campagne électorale. Lors de meetings de soutien à des candidats démocrates, il a dénoncé l'évolution récente de la politique américaine sans mentionner son successeur, Donald Trump.

Discret depuis qu’il a quitté la Maison Blanche, le 44e président des États-Unis a montré qu’il avait gardé tout son pouvoir de séduction chez les militants démocrates, qui ont de nouveau scandé « Yes we can » (« Oui, nous le pouvons »), le slogan qui avait en 2008 propulsé jusqu’à la victoire le jeune sénateur démocrate de Chicago.


Ils ont été plus de 6 000 à faire longuement la queue à Richmond, dans l’État de Virginie, pour voir Barack Obama, désormais âgé de 56 ans, venir soutenir le candidat démocrate local au poste de gouverneur, Ralph Northam.

Longuement ovationné, en costume mais sans cravate, l’ex-président a appelé les électeurs de Virginie à aller voter pour « envoyer un message résonnant dans tout ce beau pays et dans le monde ». « Si pour remporter une campagne on doit diviser la population, alors on ne sera pas capable de la gouverner », a-t-il lancé, dans un sous-entendu voilé à l’attention de Donald Trump.

« Notre valeur est au plus haut non pas quand nous rabaissons les gens mais quand nous essayons d’élever tout le monde ensemble », a-t-il également déclaré.

L’ancien président démocrate a fait référence aux récents événements tragiques qui ont agité Charlottesville, ville de Virginie théâtre d’une violente manifestation de militants d’extrême droite rassemblés autour d’un monument confédéré.

«Les gens ont 50 ans de retard»

Il a révélé être un lointain descendant par alliance de Jefferson Davis, le président des États confédérés pendant la guerre de Sécession.
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