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Présence de civils armés aux côtés des forces de défense et de sécurité/Yark et Boukpessi bottent en touche les accusations
Publié le vendredi 27 octobre 2017  |  Telegramme 228


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Jacques Tchako
Conférence de presse du Gouvernement togolais pour faire le point de la situation sécuritaire dans le pays au terme de la seconde journée de marche empêchée de l`opposition togolaise
Lomé, le 19 octobre 2017. Ministère de la Sécurité. Conférence de presse du Gouvernement togolais pour faire le point de la situation sécuritaire dans le pays au terme de la seconde journée de marche empêchée de l`opposition togolaise. Officiellement, le Gouvernement annonce zéro blessé et zéro décès à l`issue de cette journée, contrairement à l`opposition qui fait état d`au moins 03 morts par balles, 80 blessés (dont 44 par balles) et 55 arrestations. D. Yark


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Il n’y a pas eu de civils armés opérant aux côtés des forces de défense et de sécurité les 18 et 19 Octobre derniers lors de la répression des manifestations de rue des 14 partis politiques de l’opposition togolaise qui réclament un retour à la Constitution de 1992 et le droit de vote de la diaspora togolaise. C’est en substance l’assertion de Yark Damehame, ministre de la Sécurité et de la Protection civile et de son collègue de l’Administration territoriale, Payadowa Boukpessi, signataire en son nom d’un communiqué en date de ce 26 Octobre 2017.

"Se référant aux accusations portées par les partis politiques de l’opposition, différentes déclarations font état de la présence de civils armés agissant aux côtés des forces de défense et de sécurité, les assimilant à des milices privées", indique ce document dont nous avons reçu copie et qui avance que "ces accusations ont bien sûr, pour seul objectif de déconsidérer le gouvernement et de pousser leurs partisans à des affrontements violents avec le reste de la population et créer ainsi un profond désordre dans notre pays".

Ainsi, "le ministre de la Sécurité et de la protection civile les rejette avec la plus grande fermeté", mais relève toutefois que "parallèlement, des individus ou groupes organisés font circuler sur les réseaux sociaux des appels à la vengeance et aux règlements de compte, parfois en représailles aux actes de violence menés par le PNP de M. Atchadam contre ses adversaires politiques : maisons et véhicules brûlés, personnes molestées et quelques fois assassinées malheureusement".


Dans son prolongement, le document souligne que "le ministre de la Sécurité et de la Protection civile, condamne avec force, tous ces comportements qui ne sont pas de nature à favoriser le retour au calme et à la sérénité pour lesquels les autorités oeuvrent sans relâche". Aussi, met-il "en garde les auteurs et rappelle sans ambiguïté, que le maintien de l’ordre et de la sécurité relève de la seule responsabilité de l’Etat", car, "nul n’a le droit de faire sa propre justice" et que "toute personne prise en flagrant délit de violence, ou faisant l’apologie de celle-ci, répondra de ses actes devant les autorités compétentes et sera traitée avec la plus grande sévérité".
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