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Les grandes écoles françaises s’exportent en Afrique
Publié le lundi 30 octobre 2017  |  RFI


© Autre presse par DR
Menace terroriste, défis économique, processus électoraux…: des anciens de Science Pô et des experts proposent leurs recettes
Paris, le 14 janvier 2016. Pari réussi pour Afrikamaono, un think tank qui regroupe plusieurs anciens de Sciences Pô Paris. Ce pool de cadres de haut niveau issus du secteur privé, de la finance internationale, de l’Administration publique, de la diplomatie, de multinationales, provenant de 13 pays africains et dirigé par l’ivoirien Touré Mamadou a organisé un panel de haut niveau qui a réuni près d’une centaine d’ éminentes personnalités.


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Les grandes écoles françaises s’exportent en Afrique. Les écoles de commerce et d’ingénieurs se déploient au Sud en quête de nouveaux marchés. Elles y testent aussi de nouveaux outils pédagogiques. Les universités africaines débordées par l’afflux d’étudiants y trouvent leur compte.

Il y aujourd’hui 8 millions d’étudiants en Afrique, il y en aura 20 millions en 2030. Les besoins sont énormes et les pays africains ouvrent donc leurs portes aux écoles étrangères. Les grandes écoles françaises ont une carte à jouer. Elles sont ainsi une dizaine à s’être installées au Maroc. Parmi ces écoles L’EIGSI, grande école d’ingénieurs de La Rochelle. Elle vient de fêter ses 11 années d’existence au Maroc. Accueillie à bras ouverts par un pays qui ambitionne de former 15 000 ingénieurs par an.

Youssef Ben El Mostapha directeur de L’EIGSI
« C’est un pays en plein essor industriel avec des besoins en cohérence avec notre formation qui touche beaucoup de secteurs d’activités qui se développent au Maroc, comme l’automobile, l’aéronautique, le ferroviaire… »

Les grandes écoles françaises d’ingénieurs ou de commerce ont bonne réputation à l’étranger. Un savoir-faire qui vaut de l’or pour les pays émergents.

« La formation française apporte un plus par rapport à la formation africaine, au sens large, notamment cette culture de projet, l’adaptabilité et les nombreux stages en entreprise. Donc le jeune ingénieur, quand il sort de ses études, est pragmatique et opérationnel. Tous ces paramètres vont apporter un plus au jeune ingénieur marocain mais aussi au jeune Africain au sens large. N’oublions que le Maroc souhaite être un "hub" par rapport au Maghreb et aux pays subsahariens. »
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