«Amah : C’est lorsque l’honneur est perdu qu’il nous saisit à la gorge pour nous rappeler son existence et il devient alors aussi précieux que l’air dans les poumons.
Le chœur : Ton honneur, c’est de l’orgueil. (…) Rendons les armes pour arrêter la moisson de morts.
Amah : Vous n’aurez plus de cadavres, certes, mais un peuple de morts-vivants. Cela vaut-il mieux ?»
La guerre civile des aputaga d’Apedo-Amah
(extrait cité par Seexonam Komi AMEWU pp.111-112,ed. Awoudy)
Il existe deux concepts autour desquels intellectuels, politiques, politiciens et quelques amuseurs de galerie ont tant girouetté ces petits jours : La rétroactivité à propos d’une constitution que personne n’a remise en place et la guerre civile, cette sorte de serpent de mer qu’on recherche en plein jour avec des phares !