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Le cacaoyer sous ombrage à l’épreuve de la sécheresse extrême en Afrique de l’Ouest
Publié le mardi 7 novembre 2017  |  Commod Africa


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Parfait
Le CCFCC organise la 2ème édition de la Fête du chocolat, du cacao et du café togolais
Lomé, le 1er juillet 2017. Hôtel IBIS LOME CENTRE. Le CCFCC (Comité de coordination pour les filières café et cacao) lance la campagne de commercialisation 2017-2018 du café et du cacao togolais, ainsi que la 2ème édition de la Fête du chocolat, du cacao et du café togolais. Une manifestation qui a vu la présence du ministre AGADAZI de l`Agriculture et SESSENOU de l`Habitat.


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La culture ombragée du cacao, ou agroforesterie cacaoyère, serait-elle en définitive la mauvaise solution pour s’adapter au changement climatique en Afrique de l’Ouest ? Une étude réalisée par la division Tropical Plant Production and Agricultural System Modeling (Tropags) de l’université de Göttingen en Allemagne a démontré que la culture du cacao sous ombrage a moins bien résisté à la sécheresse extrême que les cacaoyers cultivés en monoculture.

Publiée dans la revue scientifique Global Change Biology (link is external) , l’étude réalisée par le doctorant Issaka Abdulai a évalué la résistance du cacaoyer à la sécheresse dans des conditions d’agroforesterie et de plein ensoleillement au Ghana en faisant appel à des techniques sophistiquées de mesure du flux de sève, du microclimat et de l’eau dans le sol.

«L’étude montre qu’en situation d’extrême sécheresse le cacaoyer cultivé en plein soleil semble mieux résister au changement climatique que le cacaoyer cultivé sous couvert » indique Issaka Abdulai. Il estime qu’en agroforesterie, pendant les périodes d’extrême sécheresse, la concurrence pour l’eau du sol semble prévaloir sur la modération du microclimat assurée par les arbres d’ombrage.
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