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Manifestations du 5 octobre : Le CJD dit avoir des éléments sous la main pour porter plainte
Publié le mardi 7 novembre 2017  |  Global ACTU


© aLome.com par Edem Gadegbeku et Parfait
Rencontre citoyenne de sensibilisation autour du thème «Réformes constitutionnelles et institutionnelles: la jeunesse face aux enjeux socio-politiques et économiques»
Lomé, le 22 septembre 2017. Palais palais des Congrès de Lomé. Rencontre citoyenne de sensibilisation autour du thème «Réformes constitutionnelles et institutionnelles: la jeunesse face aux enjeux socio-politiques et économiques». C’est une initiative de du Collectif des Jeunes pour le Développement (CJD) en collaboration avec le Conseil National de Jeunesse(CNJ). Une rencontre qui a rassemblé des milliers de jeunes tous de blanc vêtus, symbole de paix. Les travaux furent lancés par Régis BATCHASSE, président du CNJ.


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Après avoir dénoncé et menacé de porter plainte contre les organisateurs des manifestations politiques du 5 octobre qui se sont soldées par des violences, le collectif des jeunes pour le développement (CJD) en collaboration avec le réseau de Réflexion international de transport transit des affaires en Afrique (RITA) décident de passer à l’action.

Devant la presse ce lundi à Lomé, ils ont dit avoir les éléments nécessaires pour amener devant les juridictions les organisateurs des marches émaillées de violence.

Face aux évènements du 05 octobre 2017, le CJD a condamné la violence sous toutes ses formes et annoncé son intention d'organiser les victimes de la société civile en collectif pour porter plainte contre les organisateurs de ces manifestations violentes, conformément aux articles 25 et 26 de la Charte des partis politiques et du nouveau code pénal togolais.

Sur la suite réservée aux mesures réparatrices en matière d'une justice équitable, le collectif s'interroge aujourd’hui afin d'apporter des mesures sociales aux victimes des marches violentes.

« Nous avons les membres de notre réseau qui ont eu des dommages. Il y en a qui ont perdu des investissements et ils ont porté plainte auprès du réseau auxquels ils appartiennent », a laissé entendre Adom Orphé, Coordonnateur du CJD.

Exhortant le gouvernement à prendre ses responsabilités et toutes les mesures adéquates pour mieux encadrer les prochaines manifestations, le Collectif a également lancé un appel pressant aux autorités compétentes afin qu’une enquête soit ouverte pour situer les responsabilités et que les coupables soient punis conformément aux lois en vigueur.

Bernadette A.
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