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Togo: Chronique politique de Firmin Teko-Agbo : Togo-Université de Lomé : Recrutement, quand le Département d’Anthropologie est relégué au second plan
Publié le mercredi 8 novembre 2017  |  icilome




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Le Département d’Anthropologie ne ferait pas partie des priorités des premières Autorités de l’Université de Lomé. En tout cas, c’est ce qui se susurre dans les coulisses des grandes réunions académiques. Alors qu’entre-temps, un des Anciens Présidents de l’Université avait qualifié ledit Département « Département sinistré ». Un vocable qui n’ébranlerait même pas le Doyen de la Faculté des Sciences Humaines et de la Société qui devrait au fait soumettre la doléance de sa maison à ses supérieurs plus gradés que lui. Pointé du doigt, le Philosophe-Doyen feraitécran entre le Département d’Anthropologie et la Présidence de l’Université.

Il faut en réalité un enseignant pour 30 étudiants. (Selon certaines informations). A l’Université de Lomé, le chiffre est bien alarmant. Un enseignant pour 300 étudiants. L’Université de Lomé se modernise bien-sûr avec des infrastructures qui répondent bien aux exigences du 21ème siècle, certes, mais l’effectif pléthorique des étudiants ne facilite pas les choses. Trop d’étudiants, enseignants à compter au bout des doigts.« Et oh secours !! » crient souvent des Responsables de Facultés et Doyens.

2012. Le Professeur PolicapeAményédi décède. Le Département d’Anthropologie vient de perdre une de ses valeurs sures. Tristesse et pleurs. Le vide se remarque. Et il n’arrive toujours pas à être comblé. Les années suivantes. Trois enseignants admis à la retraite. La salle des profs du Département s’affiche clairsemée. La tache devient lourde. Des tractations se mettent en branle pour trouver une solution à cette pénurie d’enseignants. Mais les dossiers se bloquent au niveau du décanat. Le Département se retrouve avec 3 enseignants sous-contrat. 2 enseignants de rang A et 1 de rang B. Une situation qui impacte naturellement (négativement) la qualité de l’enseignement dispensé. Trop d’étudiants pour peu d’enseignants. La Présidence sortante parle de « Département sinistré ». Le Département pour se relever, a besoin de 4 Enseignants.
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