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Crise au Togo : les principales réactions au dialogue politique annoncé par le gouvernement
Publié le mardi 14 novembre 2017  |  Jeune Afrique


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Jacques Tchako
2ème jour de la nouvelle série de 3 journées de marches dans la capitale togolaise
Lomé, le 08 novembre 2017. Boulevard du Mono. Entrée principale de l`Hôtel SANCTA MARIA. Meeting de la Coalition des 14 partis d`opposition, au terme de la marche sur les principales artères de la capitale togolaise. Nouvel appel à manifester ce jeudi.


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Après environ trois mois de crise, le gouvernement togolais a annoncé le 6 novembre 2017 l’ouverture d’un dialogue avec l’ensemble de la classe politique. Une semaine après cette annonce, petit tour d’horizon des réactions de quelques leaders politiques du pays.

La réaction de Jean-Pierre Fabre était – avec celle de Tikpi Atchadam, leader du Parti national panafricain – la plus attendue au lendemain de l’annonce d’un dialogue politique. Le président du principal parti d’opposition, l’Alliance nationale pour le changement, dont le contrôle judiciaire dans l’affaire des incendies des marchés de Lomé et de Kara en janvier 2013 a été levé en guise de mesure d’apaisement, s’est montré ouvert mais très prudent à l’idée de dialoguer avec le pouvoir pour trouver une issue pacifique à la crise que traverse le pays depuis le 19 août.

Interrogé dès le lendemain de la proposition gouvernementale, Jean-Pierre Fabre a estimé avoir toujours été en faveur d’un dialogue. Mais « pour discuter des conditions du départ du chef de l’État ». Il a également demandé la libération de toutes les personnes détenues « injustement » depuis plusieurs années dans le cadre, notamment, de l’affaire des incendies des marchés dans laquelle il reste inculpé.


Jusqu’ici, le leader du Parti national panafricain (PNP) ne s’est pas officiellement prononcé sur la main tendue du gouvernement. Tikpi Atchadam avait néanmoins laissé, fin septembre, la porte ouverte à des discussions. « Ce serait illogique que les pacifistes que nous sommes rejettent une idée de dialogue pacifique », avait-il indiqué, réfutant toute idée de discussions permettant « au dictateur de gagner du temps ».

Brigitte Adjamagbo-Johnson, présidente du Combat pour l’alternance politique en 2015 (CAP2015), espère, quant à elle, que le dialogue annoncé par le gouvernement ne sera pas similaire aux 25 autres que le Togo a connus. « Il ne faut pas que ce soit un dialogue sans effets mais un dialogue qui donnera au peuple ce qu’il attend », a-t-elle indiqué.
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La marche du 08 novembre à Lomé prône le pacifisme politique
Publié le: 10/11/2017  | 


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