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Déclaration d’Adéwui : Le CJD et le MJD demandent la révision de la «loi Bodjona»
Publié le lundi 27 novembre 2017  |  GLOBAL ACTU


© aLome.com par Edem Gadegbeku et Parfait
Rencontre citoyenne de sensibilisation autour du thème «Réformes constitutionnelles et institutionnelles: la jeunesse face aux enjeux socio-politiques et économiques»
Lomé, le 22 septembre 2017. Palais palais des Congrès de Lomé. Rencontre citoyenne de sensibilisation autour du thème «Réformes constitutionnelles et institutionnelles: la jeunesse face aux enjeux socio-politiques et économiques». C’est une initiative de du Collectif des Jeunes pour le Développement (CJD) en collaboration avec le Conseil National de Jeunesse(CNJ). Une rencontre qui a rassemblé des milliers de jeunes tous de blanc vêtus, symbole de paix. Les travaux furent lancés par Régis BATCHASSE, président du CNJ.


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La loi du 16 mai 2011 sur les libertés de réunion et de manifestation publiques pacifiques, plus connue sous le nom de « loi Bodjona », doit être révisée afin que des précisions sur les conditions de manifestations, et surtout les responsabilités pénales des organisateurs devant les dégâts et les victimes, soient plus pointues.

C’est l’exigence qu’ont posée ce samedi au cours d’un meeting de sensibilisation des jeunes du quartier d’Adéwui à Lomé, le Collectif des jeunes pour le développement (CJD) et le Mouvement des jeunes pour la paix (MJP).

« Les manifestations de rue ont suffisamment causé du tort à la jeunesse togolaise. Elles ont détourné de nombreux jeunes de la préparation de leur avenir et causé la mort d’autres, elles ont entamé le tissu économique et remis en cause l’espoir des jeunes qui n’en peuvent plus de voir les investisseurs reporter leur déplacement à Lomé », appuie la déclaration finale des deux (2) organisations initiatrices du meeting.

Le CJD et le MJP disent qu’ils continuent d’enregistrer des « victimes » parmi leurs membres et partenaires, par le fait des manifestations de la coalition des 14 partis politiques de l’opposition togolaise. Des «mesures idoines» doivent être prises par le gouvernement, souhaitent-ils, pour « mettre fin aux manifestations violentes qui ont entamé dangereusement l’économie du pays ».


«On aurait dit que c’est à dessein que cette frange de l’opposition organise ces manifestations violentes dans le but d’impacter négativement l’économie du pays », indique la déclaration d’Adéwui.

Tout en saluant les « mesures d’apaisement » prises par le chef de l’Etat, Faure Gnassingbé et son appel au dialogue en vue de trouver des solutions à la crise sociopolitique, le collectif et le mouvement ont lancé un dernier appel aux acteurs politiques, afin, dira Orphé Adom, coordonnateur du CJD, qu’ils saisissent la «perche» du dialogue.

Béatrice Sama, conseillère du MJP, a appelé les jeunes togolais à cesser d’être des boucs émissaires sur les réseaux sociaux et à prendre des décisions responsables.
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