Faure Gnassingbé : «Il est temps que les choses se normalisent à Sokodé»

Politique

Publié le mardi 28 novembre 2017 | Global ACTU

© aLome.com par Edem Gadegbeku & Jacques Tchako
Ouverture du 1er Congrès statutaire d`UNIR en présence du Président du parti, Faure GNASSINGBE
TSEVIE, le 28 octobre 2017. Ouverture du 1er Congrès statutaire d`UNIR en présence du Président du parti, Faure GNASSINGBE. Le Président FAURE GNASSINGBE a profité de cette tribune pour s`exprimer pour la 1ère fois en interne sur la crise des réformes qui secoue le Togo depuis le 19 août 2017. Faure GNASSINGBE

Vos outils

REAGISSEZ

Vidéos

Coopération Côte d`Ivoire/Togo: tête-à-tête Gnassingbé-Ouattara

- 22/11/2017

Dans le dossier

Médiations dans la crise togolaise de 2017 sur les réformes

Dans la préfecture de Tchaoudjo, plus précisément à 28 km au sud-est de Sokodé (337 km au nord de Lomé) ce week-end pour lancer les travaux de construction d'une ferme, le chef de l’Etat, Faure Gnassingbé a dit un mot sur la situation qui prévaut à Sokodé.

« Il est temps que les choses se normalisent à Sokodé, il est temps que les conditions soient créées pour cette normalisation. Pour cela, chacun doit y contribuer. Le problème n’est pas né par hasard, les causes, vous les connaissez comme moi, les conséquences, on sait quelles sont les personnes qui sont en train de les subir et cela nous fait tous mal, nous sommes tristes et nous ressentons une douleur », disait le président de la République à l’assistance composée de chefs traditionnels, d’imams, de jeunes et de femmes.

A en croire le chef de l’Etat, ce n’est pas le moment de pointer du doigt telle ou telle personne et dire qu’elle est responsable. Le temps, a-t-il relevé, est celle des solutions.

Ces propos, il faut le souligner, contrastent avec le discours qu’il a prononcé le 10 novembre dernier devant les militaires de Témédja dans la région des Plateaux.

M. Gnassingbé, après avoir déploré ce qui s’est passé dans cette ville de l’intérieur du pays, a clairement pointé le doigt accusateur sur les organisateurs des manifestations, en l’occurrence son opposition réunie au sein de la coalition des 14 partis politiques. Il a même promis que les auteurs seront poursuivis, jugés et châtiés. ... suite de l'article sur Autre presse

Commentaires