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Togo: Faure Gnassingbé contraint de libérer Sokodé
Publié le mardi 28 novembre 2017  |  icilome


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Parfait
Inauguration du E-Gouvernement par le Président Faure Gnassingbé pour accélérer la modernisation de l`Administration togolaise
Lomé, le 24 avril 2017. Ancienne direction de Togo Telecom. Inauguration du E-Gouvernement par le Président Faure Gnassingbé pour accélérer la modernisation de l`Administration togolaise. Financé à hauteur de 15 milliards de FCFA par Exim Bank de la Chine, ce projet a pour finalité de relier 560 bâtiments administratifs (ministères, universités, hôpitaux, etc) par fibre optique via 200 km de câble, et leur offrir une connexion haut débit de 100 Mbps.


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Faure Gnassingbé a-t-il décidé de bonne foi de stopper la barbarie militaire à Sokodé ? Contrairement au communiqué du gouvernement, les dessous diplomatiques le démentent. Bien avant ce communiqué, n’importe quel membre de ce gouvernement défendrait bec et ongles qu’il n’y a pas d’occupation militaire dans la ville d’origine de l’opposant Tikpi Atchadam. D’ailleurs, le communiqué du gouvernement nargue déjà que c’était seulement après la mort de deux militaires dans cette ville que l’armée y aurait été installée. Un maquillage médiatique en fait !

L’administration de Faure Gnassingbé décide à travers un communiqué, «le retrait des forces de défense installées à Sokodé» depuis le 19 août, la mise en place du «plan sentinelle comme à Lomé pour renforcer la surveillance des lieux publics et des marchés». Le communiqué rendu public lundi, fait état d’une curieuse bonne foi du gouvernement suite à la visite du Chef de l’Etat dans cette ville martyrisée par les militaires depuis 3 mois, selon les preuves médiatiques, appuyées par les témoignages des organisations de défense des droits humains.

Les tractations diplomatiques auraient fini par l’emporter sur la soif de vengeance de l’armée et son chef qui projetaient quelques semaines plus tôt dans un camp militaire à Témédja de renforcer la chasse à l’homme pour sévir davantage suite à la mort de deux militaires qui, selon la version du gouvernement, auraient été tués par des présumés manifestants. Devant l’armée, Faure Gnassingbé a juré de mener personnellement la chasse, pour faire justice aux deux militaires tués. Mais à côté, plus d’une dizaine de morts (des civiles, y compris des enfants) ne l’avait guère ému.
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